Grâce aux applications mobiles, il est maintenant facile de gérer son argent. Si ces applications ont été créées pour aider les consommateurs à s’occuper de leurs finances et payer rapidement, elles semblent avoir un effet néfaste sur les décisions financières de leurs utilisateurs, selon une étude américaine.
L’innovation technologique change la façon dont les gens utilisent les produits financiers et effectuent leurs transactions financières. Au cours de la dernière décennie, il y a eu une multiplication d’outils technologiques, comme les applications mobiles, qui promettent de fournir un accès plus facile, plus rapide et moins cher aux services financiers. Une étude, réalisée par le Global Financial Literacy Excellence Center de l’école de commerce George Washington, s’est penchée sur la façon dont ces applications ont modifié les comportements des consommateurs. Elle montre que les membres de la génération Y (les 18 à 34 ans) qui utilisent des applications fintech mobiles sont moins susceptibles de posséder des compétences financières que ceux qui ne payent pas avec leur téléphone. Les jeunes utilisant ce genre d’application sont également plus susceptibles que les autres de prendre de mauvaises décisions financières. Ils ont généralement davantage de frais de carte de crédit, d’emprunts auprès de prêteurs sur salaires ou de retraits anticipés que les jeunes qui n’utilisent pas ces applications. Cette tendance se confirme également pour les utilisateurs qui ont plus d’actifs, qui gagnent plus d’argent et qui sont mieux éduqués. Les recherches soulignent également qu’un pourcentage plus élevé de personnes (25 %) affirment avoir épuisé leur compte parmi ceux qui utilisent ces applications que parmi ceux qui ne les utilisent pas (20 %). Cela pourrait s’expliquer par le fait que les paiements électroniques rendent les dépenses trop faciles. Il manque l’expérience tactile pour vraiment comprendre le budget, suggère le journal Quartz, s’appuyant sur un courriel d’Annamaria Lusardi, professeur à la George Washington School of Business. « Dans les données, nous ne disposons pas d’informations sur ce qui explique ce comportement, mais rendre les paiements faciles peut amener les gens à dépenser davantage », dit celle-ci. UNE SOLUTION? Alors que les paiements mobiles ne cessent d’augmenter – Google Pay et Apple Pay ont totalisé 70 milliards de dollars aux États-Unis l’an dernier et devraient passer à environ 370 milliards de dollars en 2022 –, la question d’une solution pour freiner cette tendance se pose. Selon Quartz, la technologie peut apporter des solutions aux problèmes qu’elle crée elle-même. Ainsi, le téléphone pourrait vibrer violemment lorsque les achats sont trop importants pour le compte bancaire ou l’écran d’accueil pourrait envoyer un message d’alerte. Mais si la technologie peut fournir des réponses à ce problème, elle ne remplace pas l’éducation financière de base. La recherche suggère que les personnes disposant d’un niveau élémentaire de connaissances financières prennent de meilleures décisions, qu’elles utilisent ou non des applications fintech sur leur téléphone. Source: Conseiller À Whitehorse, au Yukon, un homme n'a plus de voiture depuis 1998. Selon lui, il aurait économisé 200 000 $. Est-ce vraiment possible ? Est-ce qu'un Montréalais ferait la même économie ? Toutes les réponses ici.
Serait-ce aussi facile que cela ? Renoncer à son auto et faire une économie de 200 000 $ ? Nous avons fait les calculs pour vous. Au Québec, la voiture la plus vendue en 2018 est le Ford F-150. Si l'on prend cette voiture comme exemple (avec traction intégrale, cabine double, et un moteur V6 à 2,7 litres), celle-ci coûterait un peu plus que 49 400 $ au Québec et 51 100 $ au Yukon (taxes incluses dans les deux cas). Depuis le début de l'année 2018, le prix de l'essence est similaire à Whitehorse et Montréal. Pour la première, en une année, on dépenserait 2 931 $ pour cette auto, et à Montréal, on parle plutôt de 2 918 $ : petite différence. Dans ce calcul, on prend en compte la consommation moyenne de cette auto, soit 12,3 litres pour 100 kilomètres en ville, et 9,3 litres pour 100 kilomètres sur route. Sur 20 ans, on parle donc de 58 622 $ pour l'essence à Montréal et de 58 363 $ à Whitehorse. Pour ces calculs, nous prenons en compte le prix moyen de l'essence depuis le 1er janvier 2018 à aujourd'hui, étalé sur 20 ans. La différence est plus importante sur le prix moyen de l'assurance automobile. Au Yukon, en moyenne, on parle de 812 $ par an soit 17 052 $ sur 20 ans ; tandis qu'au Québec, le coût moyen de l'assurance est de 661 $ par an, soit 15 200 $ sur 20 ans (taxes incluses pour les deux provinces). À cela, il faut rajouter un coût d'entretien d'environ 800 $ par an, soit 16 000 $ sur 20 ans. Évidemment, il faut considérer que la longévité moyenne d'une automobile est de 300 000 kilomètres : à 20 000 kilomètres par an, il faudrait changer d'automobile (pour la même, pour faciliter les calculs) au bout de 15 ans. Par conséquent, au Yukon, si l'on décidait d'abandonner son auto demain : nous pourrions économiser environ 193 000 $ sur les vingt prochaines années. Au Québec, l'économie serait de 188 000 $. À noter tout de même qu'à ces calculs, il faut ajouter les coûts de l'immatriculation du véhicule, ainsi que celui du permis de conduire. Il faut également soustraire les coûts liés aux transports publics (à moins que l'on décide de tout faire à pieds). Source: Météomédia À l’occasion du Mois de la littératie financière, l’Agence canadienne de la Paie (ACP) conseille aux employeurs de renforcer le bien-être financier de leurs employés pour améliorer leur productivité.
L’ACP s’inquiète de voir que 40 % des Canadiens se disent écrasés par leur dette, une augmentation notable par rapport à 2017 où cette proportion était de 35 %. D’ailleurs un tiers des répondants affirment que leur dette a augmenté par rapport à l’année précédente. Selon l’agence, cette augmentation serait principalement due à l’augmentation des dépenses globales. Les répondants disent que leur crainte majeure c’est l’augmentation du coût de la vie et la hausse des taux d’intérêt. Ils ont peur de l’impact de celle-ci sur leurs prêts hypothécaires. L’ACP admet d’ailleurs que d’autres hausses du taux d’intérêt pourraient avoir un impact majeur sur les détenteurs d’une hypothèque à intérêt variable ou d’une hypothèque sur le point d’être renouvelée. Malgré ces défis financiers, les Canadiens évitent de discuter de leurs finances. Selon le sondage, la majorité des employés affirment ne pas les surveiller de près. Ainsi, seulement 36 % des sondés disent vérifier leur bulletin de paie. « Parmi les effets néfastes du stress financier qui accable les employés, citons la baisse de la productivité, l’absentéisme à la hausse et le taux de rotation élevé du personnel. Les employeurs jouissent d’une position unique pour solidifier le bien-être financier de leurs employés en leur offrant des ressources ou méthodes de gestion financière pour les aider à épargner », explique Peter Tzanetakis, président de l’ACP. Effectivement, selon le sondage de recherche 2018 de l’agence, un peu moins de la moitié des employés interrogés (46 %) affirment que leur stress financier a un effet néfaste sur leur productivité au travail. Source: Finance et investissement L’usage de l’argent comptant décline dans notre société de consommation, mais la demande de papier-monnaie demeure forte dans l’économie canadienne. Quel est l'avenir de l’argent comptant ? La Presse réfléchit à la question aujourd’hui et demain.
Le déclin du comptant Utilisez-vous encore l’argent comptant dans votre vie quotidienne ? L’usage de l’argent comptant a fortement décliné au Canada et dans les autres économies développées du monde, au fil de l’évolution rapide des technologies de paiement électronique. L’argent comptant sert maintenant dans environ le quart des transactions courantes dans les points de vente au Canada ; un pourcentage qui a fondu de presque la moitié depuis 10 ans. Quant à la valeur totale de ces transactions, l’argent comptant vient de passer sous le seuil des 10 % en 2017, comparativement à 20 % environ il y a 10 ans, montre une récente étude de la « société sans comptant » du service de la monnaie de la Banque du Canada. La conséquence de ces deux tendances de fond ? L’usage de l’argent comptant se concentre de plus en plus dans les petites transactions courantes de consommation, avec une valeur moyenne autour de 17,50 $, selon Paiements Canada, principal organisme de coordination interbancaire de systèmes de paiement électronique. « En termes sociaux, on observe que l’utilisation de l’argent comptant dans les transactions courantes demeure plus élevée que la moyenne parmi les personnes à revenu plus faible. » — Anne Butler, vice-présidente aux politiques et à la recherche chez Paiements Canada « Elle demeure aussi plus élevée parmi les petits commerces ainsi que dans les localités rurales comparativement aux régions urbanisées, en raison notamment de leur accès moindre aux technologies de paiement électronique aux points de vente », signale Mme Butler. Le comptant encore efficace ? À la Banque du Canada, dont l’un des mandats est l’approvisionnement en monnaie dans l’économie, de même que la surveillance des nouvelles technologies de paiement, on constate que « l’efficacité de l’argent comptant permet d’expliquer son utilisation continue au Canada ». « Son emploi n’entraîne, pour les consommateurs et les marchands, qu’un faible coût en temps de paiement. Il demeure plus rapide de payer en argent comptant que par carte de crédit ou de débit », a constaté l’analyste Geneviève Vallée, du service de la monnaie de la Banque du Canada, dans une étude sur les temps de paiement chez les détaillants terminée il y a quelques semaines. Cela dit, les principaux intervenants en systèmes de paiement et en commerce de détail anticipent le déclin continu de cette habitude au fil des innovations en matière de paiement électronique. Dans le milieu de la restauration rapide, par exemple, on s’attend à ce que l’usage croissant des paiements électroniques de type « sans contact » par carte à puce ou par application de téléphones multifonctions, presque aussi rapides que l’argent comptant à la caisse, accélère le déclin des paiements en espèces. « On sent une mouvance en ce sens parmi les établissements de restauration rapide et les cafés sans service aux tables où la rapidité de paiement est importante, mais aussi la réduction des coûts de gestion et de sécurisation de la comptabilité de caisses en fin de journée », constate François Meunier, vice-président de l’Association des restaurateurs du Québec. Le comptant moins coûteux ? Chez les détaillants en alimentation, où les petites transactions payées en argent comptant demeurent plus nombreuses que pour la moyenne des détaillants, on mise sur l’étendue des paiements électroniques « sans contact » pour bien satisfaire les clients tout en atténuant l’impact des coûts élevés d’accès aux cartes de crédit. « Pour les détaillants en alimentation dont les marges bénéficiaires sont déjà minces, des frais de cartes de crédit qui peuvent s’élever jusqu’à 2,5 % de la valeur d’un achat demeurent un motif important en faveur des paiements en argent comptant. » — Pierre-Alexandre Blouin, PDG de l’Association des détaillants en alimentation du Québec « C’est pourquoi de nombreux petits détaillants refusent les cartes de crédit et n’acceptent que l’argent comptant pour les petites transactions inférieures à 10 ou 15 $, par exemple », souligne M. Blouin. Pour atténuer ce sentiment, la société Paiements Canada planche ces temps-ci sur le lancement dans un an d’un système dit de « paiement-en-temps-réel » afin de simplifier et de motiver l’usage du paiement électronique lors de transactions de faible valeur aux points de vente. Pour l’essentiel, ce système vise à étendre aux petites transactions entre les consommateurs et les détaillants un système de paiement électronique immédiat, sécurisé et à coût minime. Selon Paiements Canada, ce projet s’inspire largement du système de transferts de fonds électroniques Interac, qui est de plus en plus populaire pour les transferts de fonds entre les particuliers, par l’entremise de leurs comptes bancaires respectifs. « Notre projet de système de paiement-en-temps-réel fait partie des prochaines technologies de paiement électronique plus accessibles et peu coûteuses qui pourraient accélérer le déclin de l’argent comptant jusque dans le marché des petites transactions dans les points de vente », indique Anne Butler, vice-présidente de Paiements Canada. 85,6 milliards Valeur des billets de papier-monnaie canadien en circulation en 2017, dont 55 % en billets de 100 $, comparativement à une valeur de 66,6 milliards en 2013. Source : Banque du Canada Et si le comptant disparaissait ? Une économie sans argent comptant, ça changerait quoi pour qui ? Tour d’horizon. AVANTAGES Réduction des coûts de comptabilisation de caisse et de sécurisation de transfert d’argent comptant, à l’avantage des banques et des détaillants en biens ou services Rehaussement considérable de la traçabilité des transactions à l’avantage des autorités fiscales et bancaires Hausse de la valeur moyenne des paniers d’achats de biens ou services parmi les consommateurs influencés par la dématérialisation de l’argent, à l’avantage des détaillants et des fournisseurs de services de crédit Meilleure documentation du budget de dépenses, à l’avantage des consommateurs INCONVÉNIENTS Dépendance des détaillants de biens ou de services envers des systèmes de paiement électronique, souvent d’utilisation coûteuse, qui sont gérés par des consortiums de grandes banques et d’institutions financières La dématérialisation monétaire d’une transaction peut inciter les consommateurs à dépenser et à s’endetter davantage qu’ils ne le feraient en payant en espèces Perte d’accès des consommateurs et des détaillants à un mode de paiement en argent comptant plus anonyme Risque de vol ou de fuite de renseignements personnels parmi les nombreuses interconnexions entre les divers points d’accès aux systèmes de paiement électronique (terminaux de point de vente, paiements par téléphone mobile, sites internet, etc.). Sources : études de la Banque du Canada et de Paiements Canada, commentaires de détaillants en biens ou services Ailleurs dans le monde Plus du tiers des transactions américaines Considérant la puissance de leur système financier, on croirait les Américains à l’avant-garde de l’usage des paiements électroniques au détriment de l’argent comptant. Illusion : les Américains règlent encore un peu plus du tiers de leurs transactions de consommation en argent comptant, la proportion la plus élevée parmi les formes de paiement, y compris les cartes de crédit. Chez les ménages à revenu moindre, cette proportion atteint les 40 %. Monnaie commune, usages variés Parmi les 19 pays de la zone euro, les trois quarts (79 %) des transactions en magasin sont payées en argent comptant et leur valeur représente un peu plus de la moitié (54 %) de celle des transactions dans des points de vente. C’est au plus haut – autour de 80 % – dans des pays comme l’Allemagne, l’Autriche et l’Italie. Mais au plus faible – autour de 45 % – dans des économies comme les Pays-Bas et l’Estonie. La France se situe en dessous de la moyenne européenne : l’argent comptant est encore utilisé dans les deux tiers (68 %) des petites transactions et représente le quart (28 %) de leur valeur totale. La « krona » en tout-numérique ? La Suède est l’une des économies les plus avancées en matière de remplacement de l’argent comptant. En fait, les Suédois ne peuvent presque plus utiliser d’argent comptant dans les points de vente. Au lieu, ils « swishent » leurs achats, du nom de l’application interbancaire de paiement électronique dont se servent les deux tiers de la population. Conséquence : l’argent comptant n’est utilisé que dans 15 % des petites transactions courantes, contre 40 % en 2010. La banque centrale de Suède anticipe la fin du papier-monnaie vers 2030. Entre-temps, elle élabore un projet d’« e-krona » à titre de future monnaie électronique nationale. L’argent comptant par tradition La valeur des espèces en circulation équivaut à 20 % du PIB japonais. C’est la proportion de loin la plus élevée parmi les économies développées, et cette situation est de plus en plus inefficace pour le système bancaire national. Pour contrer la réticence des Japonais à délaisser le papier-monnaie, le gouvernement a instauré l’an dernier, dans son programme économique « Society 5.0 », un objectif de doubler de 20 % à 40 % le pourcentage des transactions réglées par paiement électronique. Mais pour y parvenir, la banque centrale devra renverser la méfiance des Japonais envers le maintien de liquidités dans des comptes bancaires à intérêt nul et à frais d’opérations, en comparaison avec l’argent comptant aussi à intérêt nul, mais sans frais d’utilisation ! L’argent comptant passe à l’histoire La rapide évolution technologique de l’économie en Chine se manifeste dans le délaissement généralisé de l’argent comptant. Environ 85 % des transactions dans les points de vente sont réglées par des paiements électroniques par téléphone portable, pour une valeur estimée à 5800 milliards US par trimestre. Les deux plus grandes entreprises non bancaires de paiements électroniques mobiles en Chine, WeChat et Alipay, sont rendues respectivement à 850 millions et 650 millions d’abonnés. On estime qu’environ 40 % des détaillants et des restaurateurs dans les villes chinoises refusent les paiements en argent comptant. Source: La Presse Un peu moins de la moitié des Canadiens (44 %) avouent être mieux préparés aux événements météorologiques qu’aux urgences financières, révèle un sondage de la RBC. Si nombre de Canadiens surveillent souvent les conditions météorologiques, peu d’entre eux vérifient régulièrement l’actualité financière.
Ainsi, le tiers des personnes sondées (35 %) ont dit suivre chaque jour en ligne l’actualité relative aux conditions météorologiques exceptionnelles alors que seulement 19 % s’informent sur l’actualité financière. Pourtant, 63 % des répondants affirment que les applications bancaires font partie des applications les plus utiles de leur téléphone. En parallèle, 60 % des personnes sondées pensent la même chose de leur application météorologique. La majorité des Canadiens (88 %) s’entendent à dire qu’il est simple de vérifier ses finances au moyen de la technologie, mais moins du tiers des répondants (30 %) en fait une habitude. Parmi les personnes qui ne vérifient que rarement leurs finances, 43 % affirment qu’elles en font le suivi dans leur tête. « Le fait de suivre vos finances par voie numérique présente l’avantage supplémentaire de vous inciter à prendre des mesures pour bâtir votre avenir financier, un peu comme les prévisions météorologiques annonçant une tempête vous incitent à emporter un parapluie, explique Richa Hingorani, directrice générale principale, Stratégie numérique, RBC. Vous n’avez pas besoin de vérifier vos finances chaque fois que vous sortez de la maison, mais il est crucial de savoir ce qui vous attend et de pouvoir planifier en conséquence. » À la RBC, Richa Hingorani s’occupe justement d’une application pour aider les citoyens avec leurs finances. MonConseiller, la plateforme numérique qu’elle pilote, permet de mettre en contact client et conseiller financier en temps réel pour qu’ils puissent travailler conjointement sur un tableau de bord interactif montrant l’incidence d’un petit montant d’épargne sur l’avenir financier du client. QUELQUES APPLICATIONS FINANCIÈRES Afin d’aider ses clients à surveiller leurs habitudes de dépenses et leurs dettes et faire en sorte que leur plan financier garde le cap, la RBC a créé plusieurs applications en plus de la plateforme MonConseiller. Elle a aussi développé Perspectives NOMI, une application qui permet de gérer les dépenses courantes et de vérifier ses finances au jour le jour. Cette application offre un résume des activités bancaires courantes du client et lui envoie des alertes pour toute activité nouvelle ou inhabituelle. Elle offre aussi TrouvÉpargne NOMI qui permet de trouver rapidement les surplus d’argent dans le budget du client et les met automatiquement de côté. Cela permet au client « d’épargner sans même lever le petit doigt ». Ce service enregistre les habitudes du consommateur et détermine combien mettre de côté sans que cela bouscule ces habitudes et vire automatiquement le montant déterminé sur un compte épargne. Source: Conseiller |