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Hommes / femmes : les objectifs financiers diffèrent

31/3/2018

 
Les objectifs financiers des femmes canadiennes sont de moitié inférieurs à ceux des hommes. Elles sont également deux fois plus susceptibles qu’eux d’indiquer qu’elles ne connaissent rien au domaine de l’investissement… 
Intitulé Les habitudes d’investissement des Canadiens et des Canadiennes : une analyse de données des utilisateurs de Mylo, ce document basé sur l’étude d’un échantillon anonyme de quelque 30 000 utilisateurs de l’application financière passe au crible la façon dont les hommes et les femmes envisagent l’épargne et l’investissement.
Il prend également en compte leurs réponses à un questionnaire clients standard portant sur leurs objectifs financiers, leur tolérance aux risques et leur réaction au faible rendement du marché.
DES FEMMES MOINS INFORMÉES… OU PLUS MODESTES
Le rapport relève trois grandes tendances. D’abord, les femmes se fixent des objectifs financiers globalement inférieurs de moitié à ceux des hommes. Ensuite, elles sont deux fois plus susceptibles qu’eux d’indiquer qu’elles ne connaissent rien au domaine de l’investissement. Enfin, leur tolérance moyenne au risque est plus faible que celles des hommes, tandis que, dans le même temps, elles se montrent plus enclines à opter pour une stratégie d’investissement qui génère un revenu de placement et évite les pertes.
Concrètement, l’étude révèle que l’objectif financier moyen visé par les femmes est d’économiser 24 842 dollars, soit un montant de 52 % inférieur à celui qu’escomptent leurs homologues masculins (47 810 dollars). Dans les deux cas, leur but est cependant le même, à savoir épargner pour avoir un coussin de sécurité, pour voyager et acheter une maison. Les femmes se fixent des objectifs financiers supérieurs à ceux des hommes dans trois domaines seulement : l’éducation (+ 5 %), la santé (+ 28 %) et… le « budget mariage (+ 6 %).
La moitié des répondantes affirment également ne rien y connaître en matière d’investissement, soit une proportion près de deux fois supérieure que chez leurs compagnons. Dans l’ensemble, seules 8 % d’entre elles indiquent s’y connaître ou être experte dans ce domaine, comparativement à 25 % des hommes.
STRATÉGIE D’INVESTISSEMENT ET TOLÉRANCE AU RISQUE
En ce qui concerne la tolérance à la volatilité des marchés et la stratégie d’investissement, les femmes se montrent deux fois moins enclines que les hommes à favoriser un risque élevé, et deux fois plus susceptibles qu’eux d’opter pour une stratégie évitant les pertes, tandis que 40 % d’entre elles privilégient une stratégie qui leur apportera un revenu supplémentaire quasi assuré. Un quart des répondantes (26 %) disent qu’elles vendraient leurs investissements, en tout ou en partie, si leur valeur chutait, contre seulement 16 % des hommes. Enfin, 15 % des femmes achèteraient davantage lorsque la valeur des investissements est à la baisse, comparativement à 33 % de leurs homologues masculins.
« Ces données indiquent clairement que les Canadiennes manquent de confiance dans leurs connaissances en investissement et leur capacité à atteindre des objectifs financiers comparables à ceux des hommes », commente Amelia Young, fondatrice d’Upside Consulting, dans un communiqué. « Nous savons depuis longtemps que, au Canada, les femmes gagnent moins d’argent et sont moins enclines à investir que les hommes, ajoute Kelly Trihey, présidente du comité femmes en investissement de CFA Montréal. Bien que nous nous doutions que l’écart de rémunération entre les sexes ait une influence majeure sur l’attitude des femmes à l’égard de l’investissement, il faudra plus de recherches pour que nous puissions éliminer complètement l’inégalité financière. »
Plus d’une femme sur deux n’a pas de plan financier 
Un sondage national réalisé en février auprès de 1 000 Canadiennes pour le compte du Financial Planning Standards Council (FPSC) montre que plus du tiers d‘entre elles (38 %) ont « très peu » de connaissances en matière de finances personnelles, tandis que près d’une sur trois (28 %) dépend financièrement de leur partenaire ou de quelqu’un d’autre, rapporte Finance & Investissement.
L’enquête d’opinion révèle également que 47 % des femmes célibataires disent en savoir très peu sur tout ce qui concerne le secteur de la finance et des investissements, comparativement à 35 % des femmes vivant en couple. De même, 38 % des sondées affirment être mal à l’aise quand vient le temps de négocier un meilleur taux d’intérêt, tandis que 16 % d’entre elles reconnaissent laisser à leur compagnon le soin de gérer les finances et les investissements du ménage. Enfin, le sondage relève que 34 % des femmes ont plus de dettes (excluant leur hypothèque) que d’économies et que plus de la moitié (56 %) n’ont pas établi de plan financier écrit.

http://www.conseiller.ca/nouvelles/hommes-femmes-les-objectifs-financiers-different-66329?courriel=yes​

L’argent sème la discorde dans les couples québécois

31/3/2018

 
Les principales préoccupations des ménages québécois sont liées à des questions de finances personnelles, comme le fait de dépenser trop, de ne pas établir de budget ou de ne pas mettre assez d’argent de côté. Plus de la moitié des couples de la province (52 %, comparativement à 59 % dans l’ensemble du Canada) vivant séparément, en union libre ou mariés souhaiteraient pouvoir changer au moins l’une des mauvaises habitudes financières de leur conjoint(e), révèle un sondage publié par BDO Canada. Mais il montre aussi que leur tendre moitié pourrait ne pas en être consciente, puisque 45 % d’entre eux (36 % à l’échelle  nationale) avouent ne discuter que « rarement », voire « jamais », de problèmes financiers.
Selon l’enquête d’opinion, les plus grandes préoccupations des ménages québécois sont, dans l’ordre : dépenser de façon excessive et ne pas faire de budget (33 %); ne pas épargner suffisamment pour des objectifs à long terme, comme la retraite et les urgences (35 %); ne pas investir assez (28 %); le poids de la dette sur la carte de crédit (20 %); et le manque de connaissances financières personnelles (19 %).
LES FEMMES SONT PLUS INQUIÈTES QUE LES HOMMES
Toutefois, les problèmes d’argent n’affectent pas forcément les relations au sein de tous les couples, puisque 75 % des répondants québécois affirment avoir par exemple déjà abordé le sujet de la dette avec leur conjoint(e). Plus précisément, 28 % d’entre eux ont évoqué la question au cours des six premiers mois après qu’ils se sont rencontrés, tandis que 25 % en ont parlé avant d’emménager ensemble ou de se marier.
Parmi les répondants qui affirment vouloir changer au moins l’une des habitudes financières de leur conjoint, 42 % des femmes souhaiteraient que leur compagnon épargne davantage pour des objectifs à long terme, en particulier la retraite, comparativement à 29 % des hommes. Les femmes (73 %) sont également plus susceptibles que les hommes (66 %) de dire que leur conjoint sait tout de leurs finances. Et tandis que ces derniers sont les plus nombreux à admirer les compétences budgétaires de leur moitié, le sondage montre qu’il y a davantage de femmes (23 %) que d’hommes (16 %) à ne pas être dans ce cas concernant les habitudes financières de leur conjoint.
D’une manière générale, quatre Canadiens sur cinq affirment néanmoins qu’ils admirent au moins l’une des habitudes financières de leur conjoint. La qualité la plus appréciée est d’avoir peu ou pas de dette de carte de crédit (38 %), suivie par avoir de bonnes habitudes d’épargne à long terme, et enfin respecter un budget et ne pas avoir de dettes d’études.
« ÊTRE OUVERT ET HONNÊTE À PROPOS DES FINANCES »
Le sondage observe par ailleurs que les répondants ayant beaucoup de dettes sont aussi les plus enclins à dissimuler des « secrets financiers » à leur conjoint. C’est la dette de carte de crédit qui demeure l’élément le moins divulgué (29 % au Québec, contre 32 % ailleurs au pays), suivie par d’autres habitudes de dépenses (23 %) et par la dette précédant leur relation (11 %).
Comme les finances constituent « l’une des principales causes de dispute ou de rupture au sein d’un couple », BDO estime que ceux-ci devraient « être ouverts et honnêtes à propos de leurs dettes et de leurs finances ». « Il est important d’être sur la même longueur d’onde que votre conjoint en ce qui concerne les finances. Lui cacher des habitudes de dépenses ou des dettes peut causer de graves difficultés financières », met en garde André Bolduc, vice-président principal de la firme.
Le sondage a été mené en ligne par Ipsos entre le 2 et le 4 janvier auprès d’un échantillon de 1 540 Canadiens âgés de 18 ans et plus. Il est exact à ± 2,8 points de pourcentage, 19 fois sur 20.
Un tiers des Canadiens coupables d’« infidélité financière » 
Plus d’un tiers des Canadiens (36 %) ont déjà raconté un mensonge financier à leur partenaire de vie, tandis qu’une proportion identique affirme avoir été au moins une fois victime d’« infidélité financière » de la part d’un(e) conjoint(e), rapporte l’Agence France-Presse. 
Reprenant les conclusions d’un récent sondage national mené en ligne par Léger pour le compte de Credit Canada et du Financial Planning Standards Council (FPSC), l’Agence précise que les répondants âgés de 18 à 34 ans étaient plus susceptibles que les autres d’avoir été victimes de ce type d’« infidélité » (47 %), comparativement à 18 % des 65 ans et plus. Enfin, ni le sexe ni le niveau de revenu ne semblent changer la donne. 
Interrogée par l’AFP, Kelley Keehn, une porte-parole du FPSC, reconnaît cependant que la notion d’« infidélité financière » est assez floue et qu’il revient donc à chaque couple de la définir. À noter que le problème le plus souvent rapporté concerne l’utilisation de cartes de crédit à l’insu du conjoint.
http://www.conseiller.ca/nouvelles/largent-seme-la-discorde-dans-les-couples-quebecois-65870?courriel=yes

Donnez-vous la moitié de votre revenu à l'impôt?

22/3/2018

 
Vous l’avez sûrement déjà entendu, vous l’avez peut-être même dit vous-même : « la moitié de la paye s’en va à l’impôt ». Une autre variation populaire est de dire que si on augmente son revenu de 5 000 $, la totalité de cette augmentation va s’en aller à l’impôt.
Tout d’abord, mettons tout de suite quelque chose au clair : chaque situation fiscale est différente.
Il est vrai que les Québécois sont parmi les plus taxés dans le monde. Un récent rapport dévoilé par la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques (CFFP) de l’Université de Sherbrooke le démontre à nouveau. Le taux de pression fiscale est de 38,5 % au Québec, alors que la moyenne au Canada, en excluant le Québec, n’est que de 30,4 %.
Mais nous pouvons aussi dire (et surtout être d’accord ou pas) que le Québec a fait le choix d’être une société plus égalitaire et d’offrir plus de services à ses citoyens. C’est la raison pour laquelle le contribuable québécois est parmi les plus taxés dans le monde.
Avant de conclure quoi que ce soit, il importe de bien comprendre ou s’en va notre argent, exactement. Pour ce faire, prenons l’exemple d’une personne, Marc, qui a un revenu annuel de 50 000 $.
Impôt sur le revenu

L’impôt sur le revenu fédéral et provincial combiné pour Marc en 2017 sera de 10 900 $ ou encore 21,8 % (taux effectif) de son salaire brut. Cependant, parce que le système fiscal fonctionne par tranches d’impôt, le montant d’impôt payé sur une augmentation de salaire de 5 000 $ sera imposé à un pourcentage plus élevé que le taux effectif. On parle ici du taux marginal d’imposition, c’est-à-dire le taux d’imposition de tout revenu supplémentaire. Ainsi, le montant de 5 000 $ supplémentaire sera imposé de 1 856 $, soit un taux de 37,12 %. Cela fera augmenter le taux global (effectif) sur le nouveau salaire de 55 000 $, le faisant passer de 21,8 % à 23,2 %. Autrement dit, plus votre revenu augmente, plus vous payez de l’impôt sur le nouveau dollar gagné.

Mais ce n’est pas tout, et c’est ce qui porte parfois à confusion. En plus de l’impôt sur le revenu, il y a d’autres cotisations obligatoires et supplémentaires qui sont déduites de votre paye nette avant qu’elle ne soit déposée dans votre compte.
Cotisations obligatoires
Régime de rentes du Québec (RRQ)

Marc va devoir cotiser au RRQ un montant équivalent à 5,4 % de son salaire, après une exemption sur le premier 3 500 $ de revenu. Cela représente un montant de 2 511 $.
Régime québécois d’assurance parentale (RQAP)
En du RRQ, Marc devra cotiser l’équivalent de 0,548 % de son salaire au RQAP, soit un montant de 274 $.
Assurance-emploi (AE)
Marc cotise aussi à l’AE pour un montant équivalent à 1,63 % de son salaire, soit 815 $.
Pour Marc, le total des cotisations obligatoires s’élève donc à 3 600 $, soit près de 7,6 % de son salaire. Sur une augmentation de salaire de 5 000 $, on parle de 380 $ de plus.
Bien entendu, ces cotisations supplémentaires permettront à Marc d’avoir accès à des prestations à la retraite (RRQ), à de l’assurance-emploi (AE) ou encore à un congé parental (RQAP).
Cotisations supplémentaires
D’autres prélèvements sur la paye peuvent être effectués par l’employeur si ces programmes sont offerts.
Assurance collective
Un programme d’assurance maladie peut être offert par l’employeur pour payer une partie des soins de santé dont Marc aura besoin durant l’année. Pour les fins de l’exemple, disons que cette assurance coûte 700 $ à Marc ou 1,4 % de son salaire.
Régime de retraite collectif
Marc contribue l’équivalent de 3 % de son salaire, ou encore 1 500 $, à un régime de retraite collectif offert par son employeur.
Ainsi, aux cotisations obligatoires s’ajoutent 4,4 % de cotisations supplémentaires pour Marc.
En combinant les impôts, les cotisations obligatoires et les cotisations supplémentaires, Marc arrive à 33,8 % de déductions effectuées sur son salaire avant que sa paye ne soit déposée dans son compte.
Alors, est-ce que la moitié de votre revenu s’en va à l’impôt ? Non!
Il est clair que Marc ne paye pas la moitié de son salaire en impôts. En réalité, il ne paye que 21,8 % d’impôt sur son revenu de 50 000 $. On est loin du 50 %! Par contre, chaque dollar supplémentaire d’augmentation de salaire sera imposé à 37,12 %.
Cette impression de donner la moitié de son salaire à l’impôt est plutôt causée par les cotisations supplémentaires payées sur le revenu. Cela dit, à 33,8 % du salaire de Marc, on est encore loin du 50 %!
Évidemment, il s’agissait d’un cas fictif et les montants indiqués sont à titre indicatif seulement. Vous pouvez consulter un planificateur financier ou un comptable pour de plus amples détails.
Le calcul de l’impôt tient compte seulement du crédit personnel de base. Ces chiffres sont approximatifs, chaque cas étant unique.
http://www.lesaffaires.com/mes-finances/fiscalite/donnez-vous-la-moitie-de-votre-revenu-a-limpot/600124

Questions sur les impôts : enfants

22/3/2018

 
Des réponses à vos questions : vous avez été nombreux à répondre à notre appel à poser vos questions sur les impôts et vos déclarations de revenus, que vous devrez soumettre dans les deux prochains mois. Voici les réponses trouvées par nos journalistes.
ÉCOLE PRIVÉE
Q. « Ma fille de 17 ans fréquente une école privée non subventionnée. Cela me coûte environ 1200 $ par mois et l'école me dit que je ne peux pas déclarer ces frais dans mon rapport d'impôt. Est-ce vrai ? » 
- Claude

R. Les droits de scolarité donnent droit à un crédit de 15 % au fédéral et de 8 % au Québec. Mais ces crédits s'appliquent uniquement pour les études postsecondaires (p. ex. : cégep, université). Malheureusement, les droits de scolarité payés à des écoles primaires ou secondaires privées ne donnent droit à aucune économie d'impôt.
DROITS DE SCOLARITÉ
Q. « Depuis que mon fils est adulte, mon remboursement d'impôt est moindre que prévu. Comment faire pour que ses déductions diverses pour scolarité me soient transférées ? Il habite toujours à la maison. »
- Sylvain
R. Les crédits d'impôt pour droits de scolarité peuvent être utilisés par l'étudiant durant l'année courante s'il a des impôts à payer. Autrement, il peut les reporter jusqu'au moment où il aura des revenus suffisants pour profiter de l'économie d'impôt. Mais au lieu d'attendre, l'étudiant peut aussi transférer immédiatement les crédits à ses parents. Au fédéral, l'étudiant doit remplir le formulaire T2202A, puis le remettre à la personne qui reçoit les crédits. Au Québec, il doit remplir l'annexe T pour désigner le bénéficiaire, précise André Boulais, auteur du livre Réduisez vos impôts.
FRAIS DE GARDE
Q. « Normalement, les crédits des frais de garde sont déclarés sur l'impôt de la personne dans le couple qui a le moins gros salaire. Peut-on les prendre sur l'impôt de la seule personne qui a un salaire dans la famille, l'autre n'ayant aucun revenu annuel ? »
- Richard
R. Au fédéral, les frais de garde donnent droit à une déduction de revenus qui est appliquée sur le parent qui a les revenus les plus bas (sauf si celui-ci est aux études), peu importe qui paie la note. La mesure fiscale a pour objectif de soutenir les parents qui travaillent ou étudient, pas ceux qui restent à la maison par choix.
Au provincial, par contre, le crédit d'impôt est établi en fonction du revenu familial et il peut être réclamé par l'un ou l'autre des parents, indique M. Boulais.
PENSION ALIMENTAIRE
Q. « Je suis un papa séparé avec enfants. Je n'ai pas de garde officielle et paye 900 $ de pension chaque mois. Est-ce qu'il existe des moyens fiscaux pour les pères dans ma situation sans pénaliser la mère ? »
- Jean-Sébastien
R. Le parent qui verse une pension alimentaire pour ses enfants ne peut pas déduire le montant de ses revenus. Logique, puisque le montant versé à l'autre parent n'est pas imposable. Dans le cas d'une pension versée à l'ex-conjoint, l'entente de séparation peut prévoir un autre traitement fiscal, indique Stéphane Leblanc, fiscaliste associé chez EY. Le montant pourrait alors être déductible par le payeur, mais imposable pour celui qui le reçoit.

http://www.lapresse.ca/affaires/finances-personnelles/201803/01/01-5155819-questions-sur-les-impots-enfants.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=envoyer_cbp

Économiser 70 % de ses revenus, c’est possible

21/3/2018

 
Vos clients rêvent d’accroître leur taux d’épargne? Prendre leur retraite alors qu’ils sont encore jeunes? Ils pourraient suivre l’exemple du couple Thames, qui a décidé de rompre avec la surconsommation et de vivre dans la frugalité. 
En deux ans, Elizabeth et Nate Thames sont passés d’une vie de surconsommateurs à une vie où ils économisent 70% de leurs revenus, raconte The Guardian.
En 2014, le couple fait le point sur son avenir. Tous deux font le constat que leurs achats ne font qu’engendrer de nouveaux achats, dans une spirale sans fin. Leur vie de consommateurs ne les mènent qu’à consommer toujours davantage.
RAPPROCHEMENT PAR LES ÉCONOMIES
Le couple décide alors de se lancer dans la frugalité extrême. Désormais, ils n’achèteront que ce qu’ils ne peuvent pas se produire eux-mêmes, et ils l’achèteront en seconde main. Ils peignent eux-mêmes leurs meubles. « Cela nous a rapproché », confie Elizabeth Thames dans son livre Meet the frugalwoods : achieving financial independence through simple living. 
Ils suppriment la poubelle de la cuisine : ils achètent seulement la nourriture qu’ils mangent, sans gaspillage. Ils ne paient plus que pour s’alimenter, payer leur hypothèque, l’essence de leur voiture (200 000 miles au compteur), l’électricité, une connexion Internet et le papier hygiénique.
Deux ans plus tard, Elizabeth et Nate déménagent dans une maison située dans les forêts du Vermont. Ils ont redécouvert la joie de fabriquer ensemble ce qui leur manque. « Cela m’a permis de réaliser que dépenser de l’argent est le moyen le plus fou et le moins créatif pour résoudre un problème ou pour satisfaire un besoin, relate Elizabeth Thames. Il n’y a rien d’innovant à brandir une carte de crédit. »
ANNIVERSAIRE FRUGAL 
Le secret du couple aura été de réussir à séparer ses revenus de ses dépenses. Tous deux travaillent, et gagnent des revenus. Mais la majeure partie de leurs revenus reste dans leurs poches.
Elizabeth observe que leur vie frugale leur amène trois avantages : des économies, un moindre impact sur l’environnement, une vie plus saine. Pour cela, il leur a fallu renoncer à se demander ce que les autres pensaient d’eux.
Leur ultime récompense? Alors qu’ils cherchaient désespérément à avoir un enfant, le couple donne naissance à une fille.
Mais que restera-t-il de la frugalité avec un enfant à la maison, demanderez-vous? Les parents tiennent bon : ils limitent les dépenses d’anniversaire à 5 $. Cette fois, c’est sûr : ils ont réussi à reprendre le contrôle de leur vie… et de leur porte-monnaie.

http://www.conseiller.ca/nouvelles/prendre-sa-retraite-a-32-ans-cest-possible-66356?courriel=yes

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