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Des «conseils» financiers à ne jamais suivre

24/9/2018

 
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On aborde fréquemment les bonnes habitudes à prendre pour gérer ses finances. Pour une fois, parlons plutôt des «conseils» à ne jamais suivre.

«Cosigne mon prêt. Ne t’inquiète pas, tu n’auras pas à t’en occuper. Je vais le payer et ça va être bon pour ton dossier de crédit.»
Quand une institution financière demande un cosignataire, c’est parce qu’elle doute de la capacité de l’emprunteur principal de répondre à ses obligations. En bon français, elle veut se «backer» en cas de défaut de paiement ou de faillite. Et le back-up, c’est le cosignataire. 

Je ne dis pas qu’on doit systématiquement refuser d’aider un proche, mais il est impératif de bien comprendre ce qu’implique d’apposer sa signature sur un contrat de financement. 

Quand je travaillais dans le domaine bancaire, j’ai souvent eu la tâche ingrate d’informer des gens qu’ils venaient d’hériter de la dette d’un membre de la famille, d’un ami ou même d’un ex-parti dans la brume. 

«Mais je ne sors plus avec lui depuis 2 ans. Il m’a juré qu’il avait tout remboursé.»

«Je sais bien, mais vous avez signé une entente qui stipule que vous êtes conjointement et solidairement responsables du financement.»

Si les aléas de la vie peuvent effriter les relations, les contrats leur résistent. 

Il peut y avoir des exceptions, mais le financement est normalement rapporté au dossier de crédit du cosignataire. Cela peut entraîner des effets indésirables, comme la hausse du taux d’endettement. 

Au final, la prudence exige de comprendre toutes les clauses du contrat. Si on décide de cosigner un prêt, il est préférable de percevoir ce prêt comme s’il nous appartenait. On doit donc assurer le suivi et être dispos à prendre les paiements sous sa responsabilité advenant que l’emprunteur principal manque à ses obligations.   

«Va chercher le maximum de limite de crédit que tu peux.»
Lorsque l’on nous considère comme un «bon payeur», les émetteurs de cartes de crédit vont offrir la possibilité d’augmenter sa limite. Même si on a l’habitude de tout rembourser chaque mois, il peut être alléchant d’accepter. «T’sais, juste au cas où j’en ai besoin un jour».

On doit faire attention, puisque la spirale de l’endettement est hautement sournoise. Dans un monde qui nous incite constamment à consommer, il est facile de se laisser tenter et de dépenser au-delà de ses moyens.

Pour éviter la pénible migraine de lendemain de veille qui accompagne la surconsommation, vaut mieux garder sa limite de crédit à un montant qui ne dépasse pas ses revenus mensuels. De cette façon, dans le pire des cas, on n’aura qu’à se serrer la ceinture quelques mois pour remettre les soldes à zéro. 

«Tu dois absolument investir dans ça. C’est garanti que tu vas tripler, même quadrupler, ton investissement en un rien de temps!»
En investissement, le rendement vient généralement avec le risque. Grosso modo, cela signifie que plus le potentiel de gains est élevé, plus le potentiel de pertes l’est aussi. On doit donc se méfier de ceux qui promettent avec certitude des profits faramineux. 

Certes, il est normal d’être fasciné par ces histoires de gens qui ont transformé une modeste somme en véritable fortune. On peut penser à ceux qui ont misé sur le Bitcoin à ses débuts ou dans ces petites startups qui ont connu d’impressionnantes croissances. 

Cependant, on entend moins souvent les fâcheuses et beaucoup plus nombreuses histoires d’individus qui ont perdu leurs économies dans des opportunités qui semblaient trop belles pour être vraies.  

Avant d’investir, il est important de faire ses devoirs, d’analyser l’ensemble de l’information disponible et d’agir en fonction de sa tolérance au risque. 

«Une pyramide? Ben non, c’est pas une pyramide.»
Quand une personne doit justifier que «l’opportunité incroyable de devenir RICHE» qu’il présente n’est pas une pyramide, c’est un bon signe que C’EST une pyramide. 

Source: JDM

La « taxe de Bienvenue » plus indigeste que jamais

24/9/2018

 
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La « taxe de Bienvenue » avait déjà de quoi couper l’appétit des acheteurs de maison. Mais depuis un an, elle est encore plus indigeste.

Parlez-en à Benoit, qui vient d’acheter une maison de 985 000 $ à Saint-Basile-le-Grand. Après avoir signé l’offre d’achat, le couple a eu une vilaine surprise lorsque son notaire l’a rappelé pour lui dire que les droits de mutation immobilière s’élèveraient à 20 500 $, soit 7200 $ de plus que prévu.

« On était un peu stupéfaits ! », lance-t-il.
Le plus enrageant, c’est que si Benoit avait acheté dans la rue voisine qui se trouve sur le territoire de Saint-Bruno-de-Montarville, il n’aurait payé que 13 300 $ en droits de mutation.

Étrangement, Benoit se retrouve même à payer une facture plus élevée que s’il avait acheté une maison à Montréal, où les droits de mutation auraient été de 15 700 $.

Et ce n’est pas parce qu’il paie plus cher que Benoit a droit à davantage de services. Au contraire, il ne peut mettre à la rue qu’un seul bac d’ordures toutes les deux semaines. Avec trois enfants, ce n’est pas énorme !

***

Les notaires et les courtiers immobiliers ne sont pas encore tous au courant, mais Québec a autorisé les municipalités à hausser leurs droits de mutation dans le cadre du projet de loi 122 qui visait à leur accorder plus d’autonomie et de pouvoirs.
Un an après avoir eu le feu vert, la moitié des 30 plus grandes villes du Québec se sont dépêchées d’imposer une surtaxe, comme je l’ai constaté en passant en revue leurs règlements.

Auparavant, les droits de mutation étaient établis en fonction de la valeur de la propriété, selon un pourcentage qui grimpait jusqu’à 1,5 % maximum. Seule la Ville de Montréal était autorisée à imposer un taux plus élevé sur la valeur de la maison excédant un demi-million de dollars.

Désormais, plusieurs villes ont un taux supérieur à celui de Montréal. Par exemple, Sherbrooke, Lévis, Terrebonne, Granby, Saint-Hyacinthe, Mascouche et Salaberry-de-Valleyfield n’y sont pas allées avec le dos de la cuillère : elles imposent un taux de 3 % sur la valeur de la maison qui excède 500 000 $, soit le maximum permis par Québec.

D’autres villes ont été plus raisonnables. C’est le cas de Gatineau, qui a préféré appliquer le nouveau taux de 3 % à la valeur excédant un million de dollars, pour ne pas nuire au marché résidentiel.

***

Certains me diront que cette surtaxe est un problème de riche. Mais avec l’ascension des prix de l’immobilier, il y a aujourd’hui 7 % des maisons unifamiliales qui sont vendues à un prix supérieur à 500 000 $ à travers le Québec. Du côté des « plex », plus du quart (27 %) des transactions dépassent la barre du demi-million, selon JLR solutions foncières.

Bien sûr, ces pourcentages sont encore plus élevés dans la grande région de Montréal. Près de la moitié des plex valent plus d’un demi-million. Et une maison unifamiliale sur sept coûte plus de 500 000 $. C’est énormément de sous pour les familles qui veulent devenir propriétaires.

Réunir assez d’argent pour faire une mise de fonds devient une vraie barrière. En plus, il faut prévoir les frais de notaire, le déménageur, l’ameublement, la tondeuse à gazon, alouette. Les factures entrent à coups de milliers de dollars.

Quand l’avis de « taxe de Bienvenue » atterrit dans la boîte aux lettres, la cour est déjà pleine. Alors ce n’est certainement pas en augmentant cette taxe honnie que les villes favoriseront l’accès à la propriété.

Déjà que le Québec est la province où la proportion de ménages propriétaires est la plus faible, à 61 % contre 68 % en moyenne au Canada.

***

Il est vrai que Québec a instauré un crédit pour l’achat d’une première habitation dans son dernier budget. Ce crédit représente une économie d’impôts de 750 $, tout comme le crédit fédéral sur lequel il est calqué. Avis aux nouveaux acheteurs : n’oubliez pas d’aller chercher cet argent dans votre prochaine déclaration de revenus.

Mais l’Ontario est encore plus généreux avec un nouveau crédit bonifié dont la valeur peut atteindre 4000 $.

De leur côté, les villes font aussi des pieds et des mains pour faciliter l’accès à la propriété. Pas plus tard qu’en avril dernier, la mairesse de Montréal a doublé ses subventions pour séduire les familles, qui peuvent recevoir jusqu’à 15 000 $.

Mais à quoi bon accorder des crédits et des subventions si l’on augmente les droits de mutation par-derrière ? À quoi bon donner d’une main si c’est pour reprendre de l’autre ?

Au lieu de lancer des programmes qui ajoutent de la paperasse, il me semble qu’il serait plus simple d’enlever les embûches qui se dressent sur le chemin des acheteurs de maison, à commencer par la « taxe de Bienvenue ».

Cette taxe freine la mobilité sur le marché immobilier. Par exemple, elle décourage la famille qui veut déménager pour se rapprocher d’un meilleur travail ou pour avoir une maison plus grande après la naissance d’un enfant.

Même pour les villes, les droits de mutation ne sont pas parfaits. Ils ne leur permettent pas de diversifier leurs sources de revenus et de réduire leur dépendance à l’impôt foncier.

Alors que la campagne électorale bat son plein, on peut espérer qu’un parti politique voudra réduire ou carrément abolir la « taxe de Bienvenue », au moins pour les premiers acheteurs.

Source: La Presse

Quatre grandes menaces qui pèsent sur la retraite

24/9/2018

 
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Le rapport 2018 sur la retraite de la firme Natixis identifie quatre grandes menaces qui guettent la sécurité des retraites.

LES POLITIQUES MONÉTAIRES
Au premier rang de celles-ci, on retrouve les politiques monétaires. Les banques centrales favorisent depuis quelques années les très bas taux d’intérêt et le rachat massif de titres obligataires. Selon David Lafferty, le stratège du marché en chef de Natixis, les taux anémiques des dernières années produisent des rendements qui le sont tout autant.

« C’est un transfert de richesse à long terme qui punit les épargnants et récompense les investisseurs plus jeunes », soutient-il.

Résultat : pour générer un revenu de leur épargne-retraite, les retraités sont forcés de transformer des actifs à un moment où les taux d’intérêt sont au plancher.

Les faibles rendements des titres à revenu fixe laissent quatre choix aux retraités : vivre avec moins de revenus que prévu; travailler plus longtemps s’ils le peuvent; investir dans des actifs offrant un meilleur potentiel de rendement, mais aussi un risque plus grand de pertes importantes; ou encaisser les fonds de leur régime de pension, mais en assumant les risques des investissements eux-mêmes.

Les gestionnaires de fonds de pension se trouvent aux prises avec des dilemmes semblables et ont moins d’options pour assurer la viabilité de leurs régimes.

Le retour de plus haut taux d’intérêt sera positif à long terme pour les retraités. Toutefois, s’il intervient trop rapidement, il risque de ralentir la croissance et de pousser les prix à la hausse, ce qui n’est jamais une bonne nouvelle pour des retraités touchant des revenus fixes.

2. DES ÉTATS ENDETTÉS
Les niveaux élevés de dettes publiques inquiètent aussi Natixis. Le rapport en fait même un risque plus grand à la sécurité des retraites que la crise de 2008.

Les revenus des États ne sont pas illimités et les régimes de pensions, la santé, l’éducation et les infrastructures doivent se partager la même tarte que les intérêts payés sur la dette. Plus la dette augmente, plus les fonds disponibles pour les régimes de pension publics et les autres services sociaux diminuent.

3. LA PYRAMIDE DES ÂGES
Bien sûr, la démographie continue de poser problème. Le succès d’un régime de retraite, qu’il soit privé ou public, dépend d’un facteur clé : le nombre de contributeurs au régime doit être assez élevé pour soutenir le nombre de personnes qui en retirent des prestations. Or, aux États-Unis, le nombre de retraités soutenus par groupes de 100 travailleurs devrait passer, de 1990 à 2050, de 19 à 36. Autrement dit, les contributions de chaque travailleur serviront à faire vivre deux fois plus de retraités. La plupart des pays occidentaux sont dans cette situation.

Pour faire face à ce problème, les gouvernements peuvent hausser l’âge minimum de départ à la retraite, réduire les prestations ou augmenter l’immigration de travailleurs étrangers, toutes des options politiquement risquées, puisque fort impopulaires. De leur côté, les employeurs peuvent éliminer les âges obligatoires de départ à la retraite et instituer des politiques d’emploi des personnes âgées.

4. FINANCES ET MÉTÉO
La météo s’invite aussi dans la planification de la retraite, en raison des changements climatiques. Les dommages causés par la hausse du niveau des océans, ainsi que par des inondations, sècheresses, vagues de chaleur et feux de forêt plus fréquents et plus intenses deviennent une menace pour les retraités, notamment ceux vivant sur les côtes. En plus de poser des risques physiques, elle font s’envoler le coût des assurances pour les propriétaires de maison.
Une éventuelle raréfaction des ressources ferait aussi augmenter les prix.

LE CANADA BIEN CLASSÉ
Par ailleurs, le rapport présente aussi un top 10 des meilleurs pays où prendre sa retraite et le Canada s’y classe neuvième. Il améliore son score des dernières années pour la qualité de vie et la santé financière et matérielle, notamment avec la deuxième meilleure qualité de l’air du classement et le septième plus haut niveau de bonheur individuel.

Le rapport note de bonnes performances du Canada pour ce qui est des prêts non performants des banques, les taux d’intérêt, la pression fiscale et la gouvernance. Toutefois, le Canada régresse pour ce qui est de ses scores quant à son niveau d’endettement et son ratio personnes retraitées/personnes actives.

Le top trois est formé de la Suisse, de l’Islande et de la Norvège. Les États-Unis se classent 16e.
Source: Conseiller.ca

Fiscalité : que proposent les partis?

24/9/2018

 
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À quoi doivent s’attendre les Québécois en matière de fiscalité au lendemain des élections générales du 1er octobre? Des baisses d’impôt pour les particuliers? Une révision des crédits d’impôt pour les entreprises? À l’invitation de la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, les quatre principaux partis en lice ont croisé le fer mercredi dans le cadre d’un débat tenu à Longueuil. Voici ce qu’ils ont proposé.

PARTI LIBÉRAL DU QUÉBEC
Questionné à savoir si son parti avait l’intention de diminuer le fardeau fiscal dans la province, Carlos Leitao a expliqué qu’il étudiera la possibilité de réduire les impôts des particuliers seulement si son gouvernement parvenait à dégager un surplus budgétaire. « Nous n’allons pas mettre en péril le financement des services publics pour accorder des baisses d’impôt, mais nous pourrions réduire le fardeau fiscal des Québécois si nous disposons de la marge de manœuvre budgétaire nécessaire. Nous l’avons d’ailleurs fait lors de notre premier mandat », a-t-il dit.

Du côté des entreprises, le Parti libéral s’engage à diminuer « le plus possible » la taxe sur la masse salariale, « qui est très dommageable pour les entreprises » et qui ralentit les investissements dans la province, selon M. Leitao. « Le Québec est en Amérique du Nord, nous devons ajuster notre fiscalité selon des paramètres nord-américains. Le fardeau fiscal des entreprises québécoises est déjà très élevé », a-t-il affirmé, en réponse à l’un de ses opposants favorables à une révision à la hausse du taux d’imposition des grandes entreprises.

Pour augmenter les revenus de l’État et financer ses promesses électorales, le PLQ mise en grande partie sur une croissance économique plus forte que prévue.

PARTI QUÉBÉCOIS
« Nous n’avons pas l’intention d’augmenter ou de diminuer les impôts », a de son côté soutenu Alain Therrien, du Parti québécois. La formation politique entend plutôt augmenter les revenus de la province en favorisant une « plus grande équité fiscale ». Comment? En taxant tous les biens et services achetés en ligne. « Nos détaillants sont actuellement victimes de concurrence déloyale de la part de grandes entreprises étrangères », se désole-t-il.

Rappelons qu’en juin, l’Assemblée nationale a adopté une loi pour contraindre certaines entreprises, dont Netflix et Spotify, à s’inscrire auprès de Revenu Québec et à percevoir la TVQ auprès de leurs clients québécois. Le PQ estime que cette mesure devrait s’appliquer également aux biens tangibles. En s’assurant de capter toutes les taxes sur les biens tangibles achetés en ligne, le parti estime pouvoir récupérer 158 M$ par année.

Alain Therrien explique aussi que son parti mettrait en œuvre des mesures pour empêcher le détournement de revenus générés par certaines entreprises en sol québécois, comme Google. De telles stratégies permettent à ces entreprises de réduire leur facture fiscale. « Il faut que les entreprises soient imposées selon les bénéfices réalisées dans chaque pays », affirme-t-il.

COALITION AVENIR QUÉBEC
Pour la CAQ, la fiscalité des entreprises est un outil pour augmenter la productivité du Québec. « Avec la réforme adoptée récemment aux États-Unis, le Québec a perdu son avantage fiscal, déplore Éric Girard, de la Coalition avenir Québec. Avant même le débat sur la renégociation de l’ALENA, les investissements dans la province étaient en danger. Il y a urgence d’agir pour alléger le fardeau fiscal de nos entreprises. »

S’inspirant de la réforme américaine, la CAQ propose d’introduire une déduction pour amortissement accéléré, qui permet aux entreprises de déduire 100 % de leur investissement en capital la première année. « Il s’agit d’une mesure bien plus efficace que les crédits d’impôt pour encourager les entreprises à investir », assure Éric Girard.

En ce qui concerne les particuliers, la CAQ soutient que lors de sa quatrième année de mandat, les familles québécoises disposeront de 1,7 G$ supplémentaire au total grâce à une baisse de la taxe scolaire et à une bonification des allocations familiales.
Pour augmenter les revenus gouvernementaux, le parti mise notamment sur un programme d’attrition dans l’administration publique, une meilleure gestion informatique de l’État, le versement de dividendes plus élevés par les sociétés d’État et une croissance économique plus vigoureuse que prévue.

QUÉBEC SOLIDAIRE
La stratégie fiscale de Québec solidaire diffère sensiblement de celles de ses trois principaux opposants. Pour financer ses nombreuses promesses électorales, telles qu’un régime public d’assurance dentaire et la gratuité scolaire, la formation politique entend amorcer une vaste réforme fiscale des entreprises et des particuliers.

Québec solidaire compte d’abord augmenter à dix le nombre de paliers d’imposition pour les particuliers. Tous les contribuables ayant un revenu de moins de 80 000 $ paieraient moins d’impôt qu’aujourd’hui, assure le parti.

« Nous ferons aussi un grand ménage des crédits d’impôt et réviserons les paramètres de déductions fiscales pour mettre fin à des traitements fiscaux avantageux injustifiés », indique Simon Tremblay-Pépin. Parmi les crédits d’impôt qui seraient abolis figurent la déduction pour frais financiers, qui permet aux investisseurs de déduire de leur revenu les frais payés pour la gestion de leurs placements. Québec solidaire établirait également à 100 % le taux d’inclusion pour les gains en capital. Un gouvernement solidaire hausserait aussi le taux d’imposition des grandes entreprises, mais ne toucherait pas à celui des PME.

Des 12 G$ de revenus supplémentaires que le parti souhaite rapatrier dans les coffres de l’État, la moitié proviendrait de la réforme de la fiscalité, alors que l’autre moitié proviendrait d’économies réalisées notamment sur la rémunération des médecins spécialistes et l’achat de médicaments.

Source: Conseiller.ca

Pas d’assurance vie sans montre connectée

24/9/2018

 
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La société d’assurance américaine John Hancock, filiale du géant canadien Manuvie, a confirmé mercredi qu’elle ne vendrait plus que des assurances-vie interactives.
En recourant à des moniteurs d’activité physique, l’assureur compte proposer des polices sur-mesure à ses clients, une formule qui est déjà populaire en Angleterre et en Afrique du Sud.

En adoptant de meilleures habitudes de vie, les assurés gagnent au change, disent les promoteurs de cette technologie.

D’autres pensent plutôt que cette collecte de données permettra éventuellement aux assureurs de n’offrir des polices qu’aux gens les plus en forme, explique Reuters.

Source: Financement et investissement

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