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5 FORFAITS CELLULAIRES PAS CHERS POUR LA RENTRÉE 2019

21/8/2019

 
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Que vous soyez étudiant ou simplement chasseur d’aubaines, nous avons déniché pour vous les forfaits cellulaires les plus abordables sur le marché. 
Les fournisseurs de téléphonie mobile profitent de la frénésie de la rentrée pour proposer leurs forfaits cellulaires à prix avantageux. Nous avons donc déniché pour vous cinq forfaits à petit prix. 
Si notre sélection ne vous convient pas, utilisez notre comparateur de forfaits cellulaires. Mentionnons toutefois que les forfaits prépayés (Petro-Canada Mobilité, par exemple) ne sont pas inclus dans notre outil. 
VOUS AVEZ DÉJÀ VOTRE TÉLÉPHONE 
1. Le super minimaliste, sans données 
Prix: 100 $ par année pour 0 Go chez Petro-Canada Mobilité 
Si vous avez déjà votre téléphone, que vous faites très peu d’appels et que vous ne prévoyez pas utiliser de données cellulaires (vive le Wi-Fi!), vous pourriez opter pour un forfait prépayé à 100 $ par année chez Petro-Canada Mobilité. 
Chaque minute d’appel coûte 30 ¢ et chaque texto coûte 15 ¢, montants qui sont déduits des 100 $ payés d’avance. Des frais de 1,25 $ sont également déduits chaque mois pour l’accès au 911. 
Un tel forfait vous permettrait donc de faire 283 minutes d’appels ou d’envoyer 567 textos sur une période d’un an. 
2. Le super minimaliste, avec données seulement 
Prix: de 13 à 15 $ par mois pour 1 Go chez Fizz 
Fizz, une filiale à bas prix de Vidéotron, propose de construire vos propres forfaits selon vos besoins. Vous pouvez par exemple prendre uniquement 1 Go de données par mois, sans appels ni textos. Un tel forfait peut être intéressant si vous utilisez surtout le Wi-Fi plutôt que les données cellulaires, et que vous préférez communiquer à l’aide de messageries comme Facebook Messenger ou WhatsApp plutôt que par téléphone ou texto. 
Pour une utilisation seulement au Québec, Fizz offre son forfait de 1 Go à 13,50 $; si vous comptez utiliser vos données ailleurs au Canada, vous devrez plutôt payer 15,30 $ par mois. 
https://www.protegez-vous.ca/technologie/forfaits-cellulaires/forfaits-cellulaires-bon-prix?utm_source=infolettre&utm_medium=courriel&utm_content%5Bdate%5D=2019-08-15+00%3A00%3A00.000000... 3/5 
16/08/2019 5 forfaits cellulaires pas chers pour la rentrée 2019 | Protégez-Vous.ca 
Soulignons que Fizz a connu quelques pannes de réseau depuis son lancement en septembre 2018. Les prix offerts présentement sont d’ailleurs des «prix de stabilisation»; les tarifs devraient passer aux prix réguliers dans les prochains mois, tant pour les nouveaux clients que pour ceux ayant obtenu des forfaits aux «prix de stabilisation». 
D’autres fournisseurs comme Fido, Koodo et Virgin Mobile proposent aussi des forfaits avec 1 Go de données pour 28 à 30 $ par mois. 
3. Le «tout inclus» 
Prix: de 30 à 32 $ par mois pour 4 Go chez Fizz 
Chez Fizz, vous pouvez vous concocter un forfait avec appels et textos illimités, 4 Go de données, afficheur et boîte vocale au «prix de stabilisation» de 29,70 $ par mois (Québec seulement) ou 31,50 $ par mois (partout au Canada). À titre de comparaison, un tel forfait coûte 49 $ par mois chez Vidéotron, et 55 $ chez Fido, Koodo et Virgin Mobile. 
VOUS VOULEZ ACHETER UN TÉLÉPHONE 
4. Pour l’amateur d’Android: Samsung Galaxy S9 chez Koodo 
Prix total sur deux ans: 1680 $ pour 9 Go chez Koodo 
Le Galaxy S9 de Samsung est un excellent téléphone Android. Koodo l’offre gratuitement dans le cadre d’une entente de deux ans, avec appels illimités au Canada et 9 Go de données pour 70 $ par mois. 
5. Pour l’amateur d’iPhone: l’iPhone 7 chez Koodo 
Prix total sur deux ans: 1680 $ pour 9 Go chez Koodo 
Sur le marché depuis septembre 2016, l’iPhone 7 reste un très bon téléphone signé Apple. Koodo l’offre gratuitement avec les appels illimités et 9 Go de données à 70 $ par mois, pour un total de 1680 $ sur deux ans. 
Source:  protegez-vous.ca


Cartes de crédit : le paiement minimum augmente

14/8/2019

 
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Afin de prévenir les ment.​problèmes d’endette
À compter du 1 er août, le montant exigé à titre de paiement minimum mensuel d’une carte de crédit ne pourra être inférieur à 2 % du solde de la carte, et ce seuil augmentera graduellement au cours des prochaines années. 

Les parents retardent leur départ à la retraite

12/8/2019

 
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Pour aider leurs enfants à acheter une maison. 

​Près de la moitié des Canadiens ayant des enfants de moins de 18 ans prévoient de les aider à acquérir une maison et se disent éventuellement prêts à reporter leur retraite pour y parvenir, rapporte Advisor.ca. 


Citant un récent sondage commandité par FP Canada, le site web indique que 48 % de ces parents ont l’intention d’aider leurs enfants à devenir propriétaires, comparativement à 43 % de ceux qui avaient été interrogés en 2017 dans le cadre d’une enquête d’opinion similaire. 
Advisor.ca souligne toutefois que ces bonnes intentions entraînent souvent des tensions financières pour les parents, car le coût de l’aide qu’ils doivent apporter à leur progéniture pour atteindre cet objectif n’a cessé d’augmenter au cours des deux dernières années. 
UN TIERS DES PARENTS EN DIFFICULTÉ 
Le sondage révèle, entre autres, que 39 % des répondants prévoient effectivement quitter le marché du travail plus tard qu’ils ne l’avaient prévu afin d’aider leurs enfants à acheter un logement (par rapport à 27 % en 2017). 
De même, près d’un tiers d’entre eux (30 %) affirment qu’ils comptent utiliser une partie de leurs économies de retraite pour les soutenir (contre 21 % il y a deux ans). De leur côté, 26 % des répondants indiquent qu’ils emprunteront de l’argent en utilisant la valeur nette de leur propriété comme garantie (23 % en 2017). 
Résultat : plusieurs des parents interrogés reconnaissent éprouver des difficultés financières, au point qu’un tiers d’entre eux (34 %) avouent qu’ils auraient du mal à rembourser leurs dettes s’ils devaient le faire immédiatement (contre 22 % il y a deux ans). 
L’enquête d’opinion relève aussi que les parents vivant en milieu urbain sont beaucoup plus susceptibles que les autres d’utiliser leur épargne- retraite ou la valeur nette de leur maison pour aider leurs enfants à acquérir un bien immobilier. 
« Même s’il est naturel de vouloir aider ses enfants, il est essentiel d’examiner attentivement l’effet que cela peut avoir sur sa propre sécurité financière avant de participer à un achat aussi important », met en garde Kelley Keehn, défenseur des droits des consommateurs pour le compte de FP Canada. 
LES PARENTS PLUS ÂGÉS SONT PLUS GÉNÉREUX 
Toujours dans le cadre du sondage, près d’un répondant sur quatre (24 %) ayant des enfants âgés de plus de 18 ans indique les avoir déjà aidés à acheter une maison. À noter que les plus de 55 ans sont les plus susceptibles d’être passés à l’acte que leurs homologues plus jeunes (27 % contre 15 %, respectivement). 
Autre singularité : 32 % des sondés résidant dans les provinces de l’Atlantique, du Manitoba et de la Saskatchewan ont déjà aidé leurs enfants, soit une proportion plus élevée que partout ailleurs au Canada. 
L’enquête montre par ailleurs que plusieurs parents s’attendent à devoir un jour aider leurs enfants pour qu’ils puissent louer un logement. Plus du tiers des sondés (36 %) ayant des enfants de moins de 18 ans prévoient ainsi contribuer à payer leur loyer, tandis que 35 % de ceux qui ont des enfants de plus de 18 ans indiquent l’avoir déjà fait. Cette fois encore, les répondants du Canada atlantique (48 %) et de l’Alberta (41 %) sont les plus susceptibles d’être déjà passés à l’acte. 
Le sondage a été mené en ligne par Léger du 26 au 29 avril auprès d’un échantillon de 1 557 Canadiens. Sa marge d’erreur est de +/-2,5 %, 19 fois sur 20. 
Source: https://www.conseiller.ca

Les Canadiens espéraient mieux pour leurs finances

9/8/2019

 
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Plusieurs n’arrivent pas à amasser l’actif anticipé pour la retraite
Entre le rêve et la réalité, il y a souvent un fossé. La plupart des Canadiens n’ont d’autre choix que de le constater lorsqu’ils se penchent sur l’état de leurs finances.
Un sondage Ipsos commandé par RBC Gestion de patrimoine révèle que 48 % des Canadiens issus d’un ménage ayant un revenu de plus de 100 000 $ n’ont pas réussi a accumuler le patrimoine qu’ils avaient anticipé pour leur retraite.
Malgré tout, les répondants sont confiants de pouvoir vivre une retraite confortable : 73 % d’entre eux croient pouvoir atteindre leurs objectifs financiers avant la retraite, et ce, même s’ils ont très peu de connaissances en matière de gestion de patrimoine, peut-on lire sur Advisor’s Edge.
« Cet optimisme semble aller à l’encontre de leur confiance à l’égard de certains aspects de la gestion de patrimoine », souligne dans un communiqué RBC Gestion de patrimoine.
DIFFICILE DE S’Y RETROUVER
Le sondage révèle que, parmi les répondants qui ne sont pas aussi riches qu’ils l’espéraient, 78 % ne savent pas trop vers quelle source se tourner pour obtenir des informations fiables en matière financière.
La majorité d’entre eux (76 %) soutiennent qu’il est difficile de se tenir au courant de l’évolution des marchés financiers, et 71 % avouent ne pas être en mesure de tirer profit de stratégies de réduction des impôts.
Les deux tiers (66 %) des Canadiens indiquent par ailleurs ne pas avoir bien compris l’utilité d’un plan financier, et 70 % d’entre eux conviennent que s’assurer de ne pas survivre à leur épargne représentera un réel défi.
« Les stratégies fiscales, l’assurance et la planification de la retraite jouent un rôle important dans la constitution d’un patrimoine, mais je ne suis pas surpris de constater que beaucoup de répondants trouvent ces éléments complexes », note Howard Kabot, vice-président, planification financière à RBC Gestion de patrimoine.
Cela dit, ce déficit de littératie a un bon côté pour les conseillers : les trois quarts des répondants au sondage disent reconnaître la valeur et apprécier l’expertise des professionnels de la finance.

Source:  www.conseiller.ca

Argent facile: le taux marginal

8/8/2019

 
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Est-ce vrai que les Québécois gagnant plus de 100 000 $ donnent la moitié de leur argent au fisc ? Qu'il ne sert à rien de faire des heures supplémentaires passé un certain revenu, puisque « le gouvernement va tout garder » ? Pour s'y retrouver, La Presse décortique un concept mal connu : le taux marginal. 
Progressif 
Pour mieux comprendre le taux marginal, un petit détour sur l'impôt progressif s'impose. Le Québec, comme l'écrasante majorité des États dans le monde, a opté graduellement pour des taux d'imposition dits « progressifs », où le pourcentage d'impôt à payer augmente en fonction du revenu. Le concept date du XVIIIe siècle. Une quarantaine de pays ont plutôt opté pour un taux unique : la Russie et la Bolivie, par exemple, imposent tous les revenus à hauteur de 13 %. 
« Ce serait donc une réforme utile [...] que d'exempter absolument une certaine somme de revenu présumé, et de n'imposer proportionnellement que l'excédent. » 
Condorcet, Sur l'impôt progressif, 1792 
En tranches 
Détail important, la progressivité de l'impôt se fait en « tranches », et non sur l'ensemble des revenus du contribuable. 
• Au fédéral, il y a cinq taux qui vont de 12,53 % à 27,56 %, selon la tranche de revenu. 
• À Québec, on en retrouve quatre, de 15 % à 25,75 %. 
Les seuils pour passer d'un taux à l'autre sont également différents selon l'ordre de gouvernement. 
Prenons par exemple deux salariés dont le revenu imposable, donc une fois les déductions calculées, serait de 50 000 $ et de 100 000 $. Théoriquement, les deux auront exactement le même montant d'impôts sur leur première tranche de 40 000 $ de revenus, soit 7208 $, ou 27,53 % au fédéral et à Québec. 
Aberrations 
Prenons maintenant un système d'impôt progressif qui ne serait pas en tranches, mais « intégral ». L'ensemble du revenu serait, par exemple, imposé à 21 % pour le contribuable gagnant moins de 100 000 $ et 30 % pour celui qui aurait des revenus de 100 000 $. Mathématiquement, il resterait après impôts 70 000 $ à notre « riche » de 100 000 $. Mais le contribuable qui n'aurait pas franchi ce seuil de 100 000 $, celui gagnant 90 000 $ par exemple, serait toujours imposé à 21 %. Il lui resterait 71 100 $ dans les poches après impôts, soit 1100 $ de plus que celui gagnant 100 000 $. 

On comprend qu'aucun pays n'ait opté pour cet impôt progressif intégral. Pourtant, une bonne partie de la confusion qui entoure l'impôt progressif vient de la perception que c'est ce système qui est utilisé. 
Ce qui est payé 
Premier mythe : les hauts salariés donnent la moitié de leur salaire à l'impôt. Pour revenir à notre contribuable ayant un revenu imposable de 100 000 $, il paiera en théorie 29 653 $ aux deux ordres de gouvernement cette année, selon la table d'impôt 2019 établie par Desjardins. Ce taux « effectif » de 29,7 % est par contre plus élevé, il est vrai, que ce que paie le salarié moyen québécois. Celui-ci, avec son revenu de 47 630 $, ne paiera « que » 19,9 % en impôts, soit 9500 $. 
Les plus durement imposés ? Les contribuables gagnant 225 000 $ et plus, qui ont un taux d'imposition effectif combiné, fédéral et provincial, de 40,6 %. 
À la marge 
Vous avez un revenu imposable de 70 000 $ pour lequel vous paierez, en 2019, 17 803 $ en impôts, soit 25,4 % de votre revenu. Mais quelle somme de plus en impôts paierez-vous si vous recevez une prime de 10 000 $, disons pour des heures supplémentaires ? Calculer cette somme, c'est établir votre taux « marginal ». Voici un résumé des seuils de taux marginaux, tels que le Mouvement Desjardins les a calculés. 
Pour reprendre notre exemple plus haut, vous paierez 37,12 % d'impôts sur votre prime de 10 000 $, soit 3712 $. 
Gérer les « seuils » 
On constate, à la vue du tableau résumant les taux marginaux, certains « sauts » soudains de taux. Selon la planificatrice financière et fiscaliste Josée Jeffrey, du cabinet Focus retraite & fiscalité, il y a deux « points de bascule » : autour de 45 000 $ et de 90 000 $, les montants précis variant selon l'ordre de gouvernement. « On a ici deux points importants où on constate des hausses du taux marginal de près de quatre points de pourcentage. Des planifications devraient être prévues pour éviter de passer ce seuil, avec des cotisations REER, entre autres. » 
Sources : Organisation de coopération et de développement économiques, Mouvement Desjardins, Revenu Québec 
3717 
Nombre de millionnaires au Québec, selon Revenu Québec 
394 478 
Nombre de contribuables au Québec gagnant 100 000 $ ou plus, soit 6,08 % des contribuables, selon la compilation effectuée par Revenu Québec pour l'année 2015 
31,3 milliards 
Revenus de Québec provenant de l'impôt des particuliers pour l'année 2018-2019, soit 4430 $ en moyenne par Québécois âgé de 15 ans ou plus 
5643 
Nombre de contribuables à Montréal ayant déclaré un revenu imposable de 500 000 $ ou plus en 2015. Ils représentent 40 % de ce groupe au Québec. 
Source: 
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