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Votre client a des enfants aux études?

19/3/2019

 
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En cette période de préparation des impôts, l’Agence du revenu du Canada rappelle que les étudiants sont tenus de produire une déclaration de revenus afin d’obtenir les prestations, déductions et crédits auxquels ils ont droit. Voici les prestations, crédits et déductions les plus courants qui les concernent.

CRÉDIT D’IMPÔT POUR FRAIS DE SCOLARITÉ
Un étudiant pourrait réclamer ce crédit d’impôt s’il a étudié dans certains établissements d’enseignement postsecondaires. Sous certaines conditions, il peut aussi désormais demander le montant des frais versés pour des cours axés sur les qualifications professionnelles qui ne sont pas de niveau postsecondaire.

INTÉRÊTS PAYÉS SUR LES PRÊTS ÉTUDIANTS
Une personne aux études pourrait demander un montant pour les intérêts versés sur son prêt étudiant en 2018, ou au cours des cinq années précédentes, dans le cas d’études postsecondaires. Pour cela, il devra toutefois avoir payé ces intérêts sur un prêt reçu en vertu de la Loi fédérale sur les prêts aux étudiants, de la Loi fédérale sur l’aide financière aux étudiants, de la Loi sur les prêts aux apprentis du Canada ou d’une loi provinciale semblable.

FRAIS DE DÉMÉNAGEMENT ADMISSIBLES
Un étudiant qui a déménagé pour ses études postsecondaires et qui étudie à temps plein pourrait avoir le droit de déduire ses frais de déménagement admissibles du montant provenant d’une bourse d’études, de perfectionnement ou d’entretien, de subventions de recherche ou de certaines récompenses qu’il doit inclure dans son revenu.

S’il a déménagé pour le travail, y compris pour un emploi d’été ou pour exploiter une entreprise, il pourrait aussi déduire ses frais de déménagement. Cependant, il peut uniquement déduire ces frais du revenu qu’il a gagné à son nouveau lieu de travail. De plus, son nouveau logement doit le rapprocher d’au moins 40 kilomètres de son lieu d’études ou de travail. À noter qu’il ne peut pas déduire ces frais s’ils ont été payés par son employeur.

FRAIS DE GARDE D’ENFANTS 
Si l’étudiant paie une personne pour qu’elle s’occupe de son enfant pendant qu’il suit ses cours, qu’il travaille ou qu’il mène des recherches, il pourrait demander le remboursement de ces frais.

CRÉDIT POUR LA TPS/TVH
S’il atteindra l’âge de 19 ans avant le 1er avril 2020, il pourrait avoir droit au crédit pour la taxe sur les produits et services/taxe de vente harmonisée (TPS/TVH) et aux paiements provinciaux connexes. Lorsqu’il produit sa déclaration, l’ARC détermine automatiquement son admissibilité.

ALLOCATION CANADIENNE POUR ENFANTS (ACE)
S’il a un enfant, il pourrait être admissible à l’ACE, un paiement mensuel non imposable versé à certaines familles pour les aider à subvenir aux besoins de leurs enfants de moins de 18 ans. Pour cela, il doit cependant s’assurer de produire sa déclaration de revenus chaque année.

PRESTATION FISCALE POUR LE REVENU DE TRAVAIL
Un étudiant qui a une personne à sa charge et dont le revenu est modeste pourrait être admissible à cette prestation. Il pourrait même avoir droit à des versements anticipés. En revanche, il ne pourra y prétendre s’il n’a personne à charge qui soit admissible et qu’il est inscrit à temps plein dans un établissement d’enseignement agréé durant plus de 13 semaines au cours de l’année.

MONTANTS RELATIFS AUX ÉTUDES ET AUX MANUELS
Ces montants ont été éliminés en 2017. Toutefois, il est possible de reporter ceux qui n’ont pas déjà été réclamés lors des années précédentes en remplissant l’annexe 11 de la déclaration de revenus pour l’année en cours. L’étudiant doit demander ce montant qu’il reporte dès la première année où il a de l’impôt à payer.

Obtenir de l’aide gratuite pour faire ses impôts

Les étudiants ayant un revenu modeste et une situation fiscale simple pourraient avoir le droit de faire appel à des représentants du Programme communautaire des bénévoles en matière d’impôt ou du Service d’aide en impôt – Programme des bénévoles pour les aider à produire leur déclaration d’impôt.
L’ARC précise que les comptoirs de préparation des déclarations de revenus resteront ouverts jusqu’à la fin du mois d’avril.

Source: Conseiller

Les 8 erreurs financières de la génération Y

19/3/2019

 
Plusieurs de nos articles en font état, les Y semblent avoir certaines difficultés à épargner. Pour aider vos jeunes clients à préparer leur avenir, découvrez les principales erreurs financières qu’ils commettent, débusquées par Think Advisor.

1) ILS OPTENT POUR LE TRADITIONNEL
La génération Y devrait davantage opter pour le CELI que pour le traditionnel REER. Ceux-ci étant plus jeunes, ils sont souvent moins bien rémunérés. Les revenus plus élevés viendront avec le temps, il serait donc plus judicieux de payer ses impôts plus tôt que tard, affirme Satoru Asato, conseiller et président de McNellis & Asato, une firme affiliée à Raymond James.

Le CELI et le REER sont deux régimes enregistrés d’épargne qui permettent d’accumuler de l’argent à l’abri de l’impôt. Les cotisations à un REER permettent de diminuer le revenu imposable et ainsi de réduire la facture fiscale de l’année. Mais lorsque l’argent est retiré du REER, il est imposable, ce qui n’est pas le cas du CELI.
L’argent déposé dans un CELI est imposé, mais vos clients ne payent pas d’impôt sur les revenus générés sur leurs placements ni sur les montants retirés. Il pourrait donc s’agir d’un régime plus adapté aux petits salaires que le REER.

2) ILS N’ÉPARGNENT PAS ASSEZ TÔT
Les Y ont tendance à attendre avant d’épargner. Alors que les petits montants épargnés tôt peuvent avoir un effet important sur l’épargne, les jeunes préfèrent attendre la trentaine avant de commencer à mettre de côté une partie de leur salaire, affirme David Silversmith, planificateur financier et comptable chez Fulvio & Associés.

« Ils n’épargnent pas assez (parfois pas du tout pour leur retraite). Beaucoup attendent leurs 30 ans avant de mettre de l’argent [de côté]. Cela représente beaucoup moins d’argent pour leur fonds de retraite et signifie qu’ils devront travailler plus longtemps lorsqu’ils seront plus vieux », ajoute-t-il.

3) ILS ÉVITENT LES RISQUES
Les jeunes investisseurs sont moins prompts à prendre des risques, selon Kristi Sullivan, planificatrice financière et propriétaire de Sullivan Financial Planning.
Elle se rappelle ainsi avoir dû expliquer à une cliente qu’elle était jeune et pouvait se permettre de prendre davantage de risque.

« J’ai dû expliquer qu’un portefeuille qui a un plus haut risque offrait un meilleur potentiel de rendement que les portefeuilles plus prudent », se souvient-elle.

4) NE PAS PENSER À LEUR PROPRE TOLÉRANCE AU RISQUE
Les investisseurs de la génération Y qui n’ont encore jamais investi ont tendance à « ne pas penser à leur propre tolérance au risque et aligner les objectifs d’investissement avec cela », affirme Dennis Nolte, vice-président à Seacoast Investment Services.

Selon lui, un investisseur ne devrait pas choisir d’avoir un portefeuille audacieux s’il ne supporte pas la volatilité et n’est pas prêt à perdre 10-20 % en trois mois.

5) NE PAS AVOIR DE FONDS D’URGENCE
Nate Creviston, gestionnaire de portefeuille et analyste pour Capital Advisors, affirme avoir vu trop de fois des jeunes investisseurs retirer leurs fonds investis car ils ne pouvaient pas parer à une urgence financière.

« Il y a plein d’histoires de membres de la génération Y qui doivent retirer leur argent parce qu’ils doivent payer une facture inattendue, des coûts de rénovation de leur maison ou une dépense urgente qu’ils ne peuvent pas se permettre », assure-t-il.

Selon lui, les jeunes devraient donc se constituer un fonds d’urgence et connaître mieux leurs finances afin de savoir quelle somme ils peuvent investir.

6) NE PAS UTILISER LES FONDS DE RETRAITE
Ils auraient également tendance à changer souvent d’emploi assez tôt dans leur carrière, selon Ashley Folkes, vice-président principal des investissements chez Moors & Cabot.

« S’ils ont accumulé de l’argent à un endroit et qu’ils partent, ils sortent leurs actifs en se disant qu’ils sont jeunes et qu’ils peuvent le faire ou qu’il s’agit d’une petite somme d’argent alors pourquoi se donner la peine de la laisser là », explique-t-il.
Selon lui, on devrait leur apprendre la valeur de l’argent épargné sur une longue période.

7) TROP À L’ÉCOUTE DES HISTOIRES
Les jeunes seraient également plus prompts à écouter les histoires de richesse rapide, affirme Aaron Clarke, un conseiller de Halpern Financial. Selon lui, ils vont plus facilement investir dans des applications ou faire des placements non traditionnelles en se basant sur des histoires de personnes qui ont investi là-dedans et ont fait beaucoup d’argent. Mais souvent, ces placements sont plus risqués.

8) UN SEUL BUT À LA FOIS
Les Y auraient tendance à se concentrer sur un seul but à la fois, affirme Sean Pearson, un conseiller pour Ameriprise Financial.

Par exemple, s’ils doivent rembourser un prêt financier, ils oublient souvent de mettre aussi de l’argent de côté pour leur retraite.

« La vie comporte plusieurs buts, il faut donc prioriser plusieurs objectifs à la fois. Par exemple, économiser un peu pour ses objectifs tout en remboursant ses prêts », insiste-t-il.

Source: Conseiller

Prendre les moyens pour prendre sa retraite sans dettes

19/3/2019

 
Trop de Québécois arrivent encore à la retraite avec des dettes. Voici pourquoi on devrait éviter ce type de situation et connaître les mesures à mettre en œuvre pour y parvenir.

Arriver à la retraite avec des dettes, c’est comme traîner un boulet derrière soi. Son poids est non seulement lourd dans notre budget, mais il peut aussi causer beaucoup de stress. Un stress dont on se passerait bien à un moment de notre vie où l’on souhaiterait au contraire profiter un peu de l’existence.

Pourquoi éviter les dettes
De quel type de dettes s’agit-il ? Elles peuvent comprendre un prêt hypothécaire pas totalement remboursé, soit parce qu’il a été contracté tardivement ou encore parce qu’on a effectué un ou plusieurs refinancements hypothécaires. En effet, plusieurs utilisent leur maison comme un « guichet automatique », mais cette pratique a un coût à long terme dont il faut être conscient.

Les dettes de cartes de crédit sont aussi fréquentes chez les retraités. La diminution des revenus qui accompagne généralement la retraite ne va pas nécessairement de pair avec la réduction du désir de consommation. Résultat : on utilise ses cartes de crédit pour compenser le manque de ressources financières.

« Si l’on a moins de revenus, cela signifie également que la part occupée par les dettes sur notre budget va croître », prévient également Yves Gratton, conseiller en sécurité financière. « On aura donc beaucoup moins de marge de manœuvre pour réaliser nos projets », ajoute-t-il.

Or, la retraite comporte différentes étapes. Durant les premières années, jusqu’à 70 ou 75 ans environ, on demeure relativement actifs et désireux de faire des voyages, par exemple. Les dettes vont donc limiter notre capacité à les mener à bien.

Mais il n’y a pas que les voyages : on peut aussi avoir envie d’aider ou de gâter ses proches. « Des grands-parents me consultent souvent pour ouvrir un REEE à leurs petits-enfants », illustre Yves Gratton. Avoir des dettes rendra évidemment ce projet plus difficile à réaliser.

En finir avec les dettes
S’assurer une retraite relativement confortable et sans dettes commence par une bonne planification. Idéalement, on y pense relativement tôt dans sa vie active et on se fait accompagner par un planificateur financier qui nous aide à mettre en place une stratégie.

Celle-ci devra être révisée régulièrement, en particulier à chaque changement important : naissance d’un enfant, achat d’une maison, etc. Assurez-vous que la stratégie choisie permette de faire croître vos actifs et de réduire votre passif progressivement, pour arriver à la retraite libre de dettes.

Une bonne façon d’y parvenir est d’adopter la méthode du « barbier riche » : économisez 10 % de vos revenus et vivez avec 90 %.

« Dans la gestion de chaque dollar gagné, on devrait aussi avoir une vision à court terme (les dépenses reliées aux besoins de base), à moyen terme (projet d’achat de maison, de voyage, etc.) et à long terme (retraite) », conseille Yves Gratton.

Enfin, pensez à vous protéger en cas de coup dur. « Un individu de 40 ans a six fois plus de chance de devenir invalide que de mourir, selon les statistiques. Souscrivez à une assurance invalidité et pour les maladies graves », recommande M. Gratton.

Conseils
  • Gérez votre passif avec rigueur et faites un plan d’action afin que toutes vos dettes soient remboursées au moment de la retraite (hypothèque, cartes de crédit, prêts personnels).
  • Remboursez le solde complet de votre carte de crédit chaque mois pour éviter de tomber dans la spirale de l’endettement et de payer des taux d’intérêt élevés. Si vous n’y parvenez pas, prenez le temps de réfléchir à ce qui cloche. La mauvaise utilisation du crédit et la consommation excessive agissent comme un véritable cancer des finances personnelles et pourraient vous endetter bien au-delà de la retraite. Ne vous laissez pas influencer ni tenter par les achats effectués par votre voisin et votre entourage si vous n’en avez pas les moyens !
  • Examinez attentivement les relevés mensuels de votre compte en banque et de vos cartes de crédit pour savoir où va votre argent et identifiez les pistes d’amélioration possibles.

Source: JDM

La dette des ménages croît plus que leurs revenus

19/3/2019

 
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Le montant que doivent les Canadiens par rapport à leur revenu a augmenté au quatrième trimestre de l'an dernier, la croissance de leur dette ayant légèrement dépassé celle de leur revenu, a indiqué jeudi Statistique Canada.

Selon l'agence fédérale, la dette des ménages sur le marché du crédit, exprimée en proportion de leur revenu, a augmenté pour s'établir à 178,5 % au quatrième trimestre. Cela se compare à une lecture révisée de 178,3 % pour le troisième trimestre.

Autrement dit, les ménages détenaient 1,79 $ de dette sur le marché du crédit pour chaque dollar de leur revenu disponible.

Aux yeux de Josh Nye, économiste principal à la Banque Royale, ces chiffres mettent en lumière le défi que doivent relever les consommateurs.

« Il faudra que la croissance des revenus des ménages dépasse celle de la dette pendant une longue période pour parvenir à une amélioration significative du ratio de la dette au revenu », a écrit M. Nye dans un rapport.

« Nous n'observons pas encore cela. »

M. Nye a noté que le ratio du service de la dette avait augmenté pour un cinquième trimestre consécutif, pour égaler un record.

Le ratio du service de la dette des ménages, soit le total des paiements obligatoires de capital et d'intérêts en proportion du revenu disponible des ménages sur le marché du crédit, a augmenté pour s'établir à 14,9 % ce trimestre, contre 14,7 % au troisième trimestre.

« Même si nous ne nous attendons pas à ce que la Banque du Canada augmente les taux de nouveau avant plus tard cette année, le ratio du service de la dette devrait encore progresser légèrement au cours des prochains trimestres, les propriétaires renouvelant leurs emprunts à taux fixe à des taux d'intérêt plus élevés », a poursuivi M. Nye.

La hausse des emprunts au quatrième trimestre a contribué à alimenter la hausse des deux principaux ratios d'endettement.

Sur une base désaisonnalisée, les ménages ont emprunté 21,2 milliards au quatrième trimestre, a précisé Statistique Canada, alors que la demande de prêts hypothécaires a augmenté de 2,3 milliards pour atteindre 12,3 milliards.

Toutefois, malgré l'augmentation annuelle enregistrée au quatrième trimestre, les emprunts sur le marché du crédit des ménages ont diminué de 19,5 % pour s'établir à 84,6 milliards en 2018, soit le niveau le plus faible d'emprunt depuis 2014.

La dette hypothécaire a atteint près de 1440 milliards, tandis que les prêts à la consommation et les prêts non hypothécaires totalisaient 769,4 milliards.

Plus tôt ce mois-ci, Equifax Canada a indiqué que les retards dans les paiements des consommateurs avaient augmenté au quatrième trimestre de 2018 et l'agence de surveillance du crédit a prévenu que la hausse des taux de délinquance deviendrait probablement la norme cette année.

Le taux de délinquance lié aux retards de 90 jours pour les paiements des prêts hypothécaires a augmenté de 1,5 % par rapport au quatrième trimestre de 2017, pour atteindre 0,18 % à la fin de l'année dernière.

Le taux comparable pour les prêts non hypothécaires a augmenté de 0,4 % à 1,07 %.

Source: La Presse

Cinq erreurs à éviter au moment d'acheter

19/3/2019

 
Avec l'arrivée prochaine du printemps s'accélère le mouvement des transactions immobilières ! Petit guide pour réussir une acquisition... et éviter les pièges qui guettent les acheteurs inexpérimentés.

Négliger de faire des projections
«Le plus grand danger, c'est de voir trop grand, de payer trop cher, mais surtout, de ne pas prendre le temps de faire les bons calculs avant d'acheter une maison ou un condo», résume Nancy Horth, courtière immobilière chez Proprio Direct. Elle suggère trois questions qu'elle juge fondamentales: «La maison que vous payez 300 000 $ a-t-elle besoin de rénovations? Êtes-vous habile de vos mains pour effectuer les travaux ? Risque-t-il de manquer une chambre le jour où la famille s'agrandira?» Le mieux à faire, selon elle, c'est de faire des projections sur un horizon minimal de cinq ans.

Faire abstraction des bruits ambiants
«Arrêtez-vous un moment et prenez le temps d'écouter les bruits ambiants et environnants avant de prendre la décision de faire une offre d'achat sur la maison convoitée!», suggère Jean-Marc Léger, courtier chez RE/MAX. Ce moment de silence peut être révélateur à plusieurs points de vue. Il se peut que la maison de rêve soit située près d'une autoroute ou d'un hôpital, et que vous entendiez, sur votre terrasse, la sirène de l'ambulance, le bruit infernal causé par les freins des camions lourds... Voilà pourquoi, insiste le courtier, il est important de se faire accompagner lors de la démarche d'acquisition.

Acheter sans faire inspecter
«L'erreur à ne pas faire, c'est d'acheter sans faire inspecter!», martèle le courtier Patrick Fournier, de Royal LePage. Il est toujours étonné de voir des acheteurs - très peu nombreux, fort heureusement - négliger cette étape après avoir signé l'offre d'achat. «On débourse 150 $ pour faire inspecter une auto usagée; on ne devrait pas se poser de questions pour l'inspection d'une maison de 400 000 $», souligne-t-il. Le courtier de Trois-Rivières concède que l'inspecteur «ne peut pas tout voir» et qu'il peut arriver que l'acheteur fasse des découvertes désagréables, une fois installé dans sa maison. Mais mieux vaut mettre toutes les chances de son côté...

Se fier uniquement à l'évaluation municipale
«L'évaluation foncière [fixée par la municipalité] est une chose, la véritable valeur marchande, c'en est une autre», résume le courtier Yvan Nadeau Genest, de RE/MAX, dans la région de Québec. Il suggère fortement à ses clients de ne pas faire une offre d'achat «en se basant sur l'évaluation de la Ville», qui ne reflète pas toujours la réalité. «On peut payer la maison 10 000 $ de moins que l'évaluation municipale en croyant qu'on fait une très bonne affaire, soulève-t-il, mais il se peut qu'on ait quand même payé 20 000 $ trop cher!» Et l'inverse peut être tout aussi vrai. On peut embaucher un évaluateur agréé pour déterminer le juste prix du marché, et de la propriété!

Omettre de lire la Déclaration du vendeur
«Trop d'acheteurs enthousiastes - et qui sont tombés en amour avec la brique, le mortier, la cuisine et la salle de bains! - ne lisent pas d'un bout à l'autre la déclaration du vendeur. C'est pourtant là, en noir sur blanc, que se trouvent toutes les informations, s'il y a eu culture de cannabis, un incendie, des problèmes d'eau», énumère Jasmine Bousquet, courtière immobilière chez Via Capitale à Saint-Hyacinthe. Un coup de coeur pour une maison peut se transformer en coup de cafard si l'on ne se donne pas la peine de faire ses devoirs... «Il ne faut pas aller trop vite même si on croit avoir trouvé LA maison», conclut-elle.

Source: La Presse
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