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Pour les riches, le CELI? Que non.

20/2/2019

 
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Les détracteurs du compte d'épargne libre d'impôt (CELI) accusaient le gouvernement conservateur d'avoir créé un outil pour les plus fortunés, au moment de sa création en 2009. Dix ans plus tard, ce compte a trouvé un public bien plus large, séduit par cet abri fiscal, mais aussi par une flexibilité attrayante, complémentaire des régimes enregistrés d'épargne-retraite (REER).

En moins d'une décennie, le CELI a détrôné le REER comme véhicule d'épargne auprès des Canadiens aux revenus les plus modestes. 

Les ménages canadiens disposant d'un revenu inférieur à 80 000 $ sont plus susceptibles de cotiser à un CELI qu'à un REER, indique le plus récent recensement disponible de Statistique Canada, publié en 2016.

Parmi ceux qui gagnent moins de 30 000 $ par année, plus du quart des contribuables (26,6 %) détiennent un CELI, mais seulement 6,3 % un REER.

La tendance est cependant inversée chez les ménages canadiens qui gagnent plus de 80 000 $ annuellement. Et au-delà de ce salaire, l'écart s'accroît entre la portion de titulaires d'un REER et d'un CELI; à partir de 100 000 $, l'écart est de 10 à 15 points en faveur du REER. 

Pour les plus fortunés, le CELI permet une économie d'impôt, une fois le REER déjà rempli, observe Éric F. Gosselin, planificateur financier rattaché à Services en placements PEAK.

« Le CELI est plus profitable que le REER pour les personnes aux revenus les plus modestes », explique Lucie Gervais, directrice générale, planification fiscale et successorale, chez IG Gestion de patrimoine. En effet, le CELI offre une fiscalité nulle au moment des retraits, contrairement au REER. Une personne payant peu ou pas d'impôt, qui prévoit en payer davantage à sa retraite, a donc intérêt à épargner à long terme dans le CELI.

« Mais il faut veiller à ne pas effacer ce gain en perdant des crédits gouvernementaux », tempère aussitôt Mme Gervais.

En effet, les cotisations au REER viennent en déduction du revenu calculé pour plusieurs crédits. Le CELI ne permet pas d'obtenir cette déduction. Dans certains cas, il vaut mieux cotiser au REER afin de bénéficier de davantage de crédits d'impôt.

Flexibilité et investissement
Le CELI ne convainc pas seulement parce que ses rendements et ses retraits sont à l'abri de l'impôt. C'est sa flexibilité qui fait son succès, affirme Éric F. Gosselin. « On peut utiliser le CELI pour le court terme comme pour le long terme », souligne-t-il.
L'argent peut aussi bien y être accumulé pour constituer un coussin de sécurité que pour épargner en vue d'un achat important, comme un véhicule, ou même un logement. Ces aspects rejoignent davantage les ménages modestes que les plus fortunés.

Mais la capacité du CELI à faire fructifier de l'argent à l'abri de l'impôt est encore souvent mal comprise. « La plus grande confusion qu'on entend est que le CELI n'est pas payant, que ce serait un compte d'épargne qui donne 0,05 % par an », regrette Éric F. Gosselin. 

Or, le CELI est bien plus que cela. « C'est un compte d'investissement, poursuit le planificateur financier. Vous pouvez détenir des fonds communs et des actions de Google. Les mêmes règles s'appliquent pour choisir les placements dans un CELI et dans un REER. »

Source: La Presse

Le REEE de plus en plus populaire chez les parents

20/2/2019

 
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Près de la moitié des familles québécoises ont investi dans un REEE (régime enregistré d’épargne-études) en 2018. Une bonne façon de financer les études des enfants, surtout si l’on sait comment optimiser ses cotisations.

Le REEE est un régime d’épargne qui permet de mettre de l’argent de côté, à l’abri de l’impôt, afin de financer les études postsecondaires d’un enfant.
En 2018, 48 % des ménages ont contribué à un REEE, une hausse de 2 % par rapport à l’année précédente selon une étude CROP sur les habitudes d’épargne des Québécois, diffusée par Universitas.

Avantages fiscaux et incitatifs
Bien que différents de ceux relatifs aux REER, les gouvernements accordent des avantages fiscaux à ceux qui investissent dans un REEE. Ainsi, au moyen de l’Incitatif québécois à l’épargne-études, le gouvernement provincial verse un crédit d’impôt remboursable directement dans le REEE. Ce crédit correspond à 10 % des cotisations déposées en une année, jusqu’à concurrence de 250 $ annuellement. Les familles à faible revenu peuvent voir leur crédit bonifié de 50 $.

Au niveau fédéral, avec la subvention canadienne pour l’épargne-études, c’est 20 % des premiers 2500 $ cotisés dans le REEE durant l’année qui seront versés dans le régime, pour un maximum de 500 $ par enfant.

« Les familles à faible revenu bénéficient aussi du bon d’études canadien », explique Steven Forget, conseiller en sécurité financière et planificateur financier chez IG Gestion privée de patrimoine.

Ce bon est de 500 $ la première année, puis de 100 $ annuellement jusqu’à ce que l’enfant atteigne l’âge de 15 ans.

Par conséquent, grâce aux subventions et au bon d’études, même une famille dont les moyens sont limités peut constituer un petit pécule destiné aux études de son enfant.

Optimiser le REEE
Première chose à savoir : les cotisations appartiennent toujours au souscripteur, même si les subventions et les intérêts générés depuis l’ouverture du compte reviennent au bénéficiaire.

« Le cotisant peut commencer le retrait de ses cotisations – sous réserve de certaines règles – dès que le premier paiement d’aide aux études a été versé à l’enfant », précise Steven Forget.

Dans ces conditions, il est donc possible de faire travailler doublement son argent. Par exemple, en récupérant ses cotisations lorsque le jeune entreprend ses études postsecondaires et en déposant ces sommes dans un REER, afin de bénéficier d’un remboursement d’impôt.

« Celui-ci pourrait alors être réinvesti dans le REEE d’un autre enfant plus jeune afin de maximiser les subventions gouvernementales, et ainsi de suite pour les enfants suivants », conseille Steven Forget.

Conseils
  • Il est important de faire analyser votre situation par un spécialiste afin de vous assurer que l’écart d’âge entre vos enfants constituera effectivement un avantage dans le cadre de cette stratégie.
  • Planifiez bien les décaissements du REEE. Si votre enfant change d’avis et décide de ne pas effectuer d’études postsecondaires alors que des sommes ont été retirées, un impôt souvent salé sera imposé au cotisant sur le montant de ses contributions. 
  • Magasinez bien votre REEE en tenant compte de vos besoins. Il en existe plusieurs sortes (familiaux, individuels et collectifs), renseignez-vous avant d’ouvrir un compte, car les conditions varient de l’un à l’autre. Pour vous aider à y voir plus clair, consultez le site de l’Autorité des marchés financiers.

Source: JDM

Demander sa rente de retraite du Régime de rentes du Québec à 60 ans: est-ce vraiment LA meilleure idée?

20/2/2019

 
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Plusieurs personnes ont profité de la période des REER pour planifier leur projet de retraite, comme le suggère Retraite Québec dans sa campagne de sensibilisation à l'importance de la planification financière de la retraite. Toutefois, une question demeure: à quel âge demander sa rente de retraite du Régime de rentes du Québec (RRQ)? Est-ce plus avantageux de la demander à 60 ans ou d'attendre à 65 ans, voire à 70 ans?

Au cours des derniers mois, plusieurs ont tenté de répondre à cette question. Leurs recommandations sont souvent divergentes, chacun y allant de sa propre analyse en fonction des données qu'il a sous la main.

D'abord, il y a ceux qui «conseillent» de demander la rente du RRQ le plus tôt possible afin, disent-ils, d'en profiter plus longtemps, et ce, même si le montant de la rente est alors diminué. A contrario, d'autres prônent plutôt l'idée d'attendre à 65 ans afin de bénéficier du plein montant de la rente, ou de patienter jusqu'à 70 ans pour recevoir une rente bonifiée.

En effet, bien que vous soyez admissible à la rente de retraite du Régime de rentes du Québec dès vos 60 ans, l'âge requis pour bénéficier du plein montant de votre rente est de 65 ans. Ainsi, si vous la demandez avant 65 ans, votre rente sera réduite par rapport à celle que vous auriez touchée si vous aviez attendu d'avoir 65 ans pour la demander. Cette réduction s'appliquera pour le reste de votre vie. À l'inverse, si vous demandez votre rente après 65 ans, son montant est bonifié pour chaque mois compris entre votre 65e anniversaire et la date de votre demande.

Différents scénariosComme chaque situation est différente et qu'il n'y a aucune recommandation qui convienne pour tous, Retraite Québec conseille d'être prudent quand vient le temps de demander sa rente de retraite du RRQ. Le meilleur scénario pour l'un n'est pas nécessairement le meilleur pour l'autre.

L'âge auquel vous choisissez de commencer à recevoir votre rente de retraite du Régime de rentes du Québec a un effet sur vos revenus pour le reste de votre vie. De plus, comme cette décision est irréversible, vous devez vous assurer que la somme que vous recevrez vous conviendra.

Plusieurs autres facteurs plus personnels sont à considérer, dont votre état de santé, vos actifs financiers, la présence ou non d'un conjoint, vos autres sources de revenus, etc. Comme vous le constatez, il y a de nombreux détails à ne pas négliger lorsque vous planifiez votre retraite! C'est là qu'intervient le planificateur financier ou la planificatrice financière. Il s'agit d'une personne ayant suivi une formation reconnue, capable d'analyser tous les aspects de vos finances personnelles et d'élaborer un plan d'action adapté à vos besoins, qui tient compte de votre réalité et de vos objectifs.

Même si la décision finale vous appartient, Retraite Québec vous recommande de vous assurer que la somme que vous recevrez vous conviendra.Vous pouvez trouver un planificateur financier ou une planificatrice financière, ou vérifier si une personne qui dit en être un ou une est dûment autorisée en consultant le répertoire électronique de l'Institut québécois de planification financier (IQPF) ou en vous en informant directement auprès de votre établissement financier.

Pour terminer, même si la décision finale vous appartient, Retraite Québec vous recommande de vous assurer que la somme que vous recevrez vous conviendra. La meilleure façon de faire un choix éclairé est de se faire accompagner par une personne qualifiée et reconnue dans le domaine de la planification financière, et surtout, d'avoir bien planifié votre projet de retraite. À cet effet, Retraite Québec vous incite fortement à consulter le www.retraitequebec.gouv.qc.ca/jeplanifie.

Source: Huffington Post

Les Y brisent les stéréotypes en matière d’épargne

20/2/2019

 
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La génération Y est souvent mal perçue. On décrit ses membres souvent comme des jeunes trop confiants qui ne prévoient pas assez leur avenir. Cependant, la façon dont ils investissent dans leur REER tend à discréditer ces stéréotypes négatifs, selon deux experts.

Kyle Westhaver, conseiller financier de la société torontoise Nicola Wealth Management, affirme au Financial Post que ses clients de cette génération sont « attentifs à l’épargne ».

« Ce ne sont pas tous des investisseurs trop confiants qui mangent trop de toasts à l’avocat pour acheter une maison, a déclaré M. Westhaver se moquant des stéréotypes. Beaucoup de mes jeunes clients ont investi de manière plus prudente [que les autres investisseurs plus âgés]. »

Son observation est appuyée par les nouvelles données de BMO, qui suggèrent également que les membres de la génération Y concentrent leurs efforts à cotiser à leur REER. Ainsi, selon les données de la neuvième étude annuelle sur les REER de la banque, depuis 2016, les avoirs moyens dans le REER des Y ont augmenté de 87 %, pour atteindre 28 821 $.

Cette génération aurait même surpassé les baby-boomers du point de vue de la croissance des montants détenus.

« Les soldes augmentent généralement en raison des cotisations et de l’appréciation des actifs, mais il est important de noter que les Canadiens de toutes les générations épargnent en vue de leur retraite, malgré les priorités financières et la volatilité des marchés, a déclaré Robert Armstrong, vice-président, Solutions multi-actifs, BMO Gestion mondiale d’actifs. Il est encourageant de constater un changement d’attitude et d’approche à l’égard de la retraite à l’échelle nationale, en particulier chez les personnes de la génération Y sondées. »

DES INVESTISSEMENTS MOINS RISQUÉS
Kyle Westhaver affirme que ses clients de la génération Y ne s’intéressaient pas vraiment au portefeuille traditionnel composé de 60 % d’actions et de 40 % de titres à revenu fixe. Ceux-ci regardent davantage les investissements non traditionnels, soit dans l’immobilier, le capital d’investissement privé et la dette privée.

Robert Armstrong observe également que ses clients de cette génération préfèrent les placements moins risqués. Beaucoup d’entre eux ont ainsi tendance à bouder cette option pour minimiser le risque de perte de leur épargne, même si transformer leurs liquidités en action permettrait aux Y d’atteindre plus rapidement leurs objectifs de retraite.

Selon lui, environ les deux tiers de leur REER seraient en espèces. Il estime que cela est peut-être dû au régime d’accession à la propriété (RAP), qui permet un retrait de 25 000 $ d’un REER pour payer une première maison sans que cela ne soit déclaré comme revenu.

BMO ne compilant pas des informations sur les groupes d’âge qui ont recours au RAP, rien n’appuie l’hypothèse de Robert Armstrong. Cependant, selon lui, la majorité de ses clients qui sont devenus propriétaires au cours des dernières années ont procédé de la sorte.

Le défi pour cette génération consiste, selon lui, à trouver l’équilibre entre leur objectif à long terme, comme la retraite, et ceux à plus court terme, comme le remboursement de leur hypothèque ou de leur dette d’étude.

Pour ceux qui n’ont pas encore commencé à investir, Kyle Westhaver recommande de mettre en place des dépôts automatiques après chaque chèque de paie.

« Le premier chèque de paie, ce n’est pas agréable. Le second, on le sent. Mais après le troisième, c’est comme si ce n’était même pas arrivé », affirme-t-il.

Source: Conseiller

REER ou CELI: quoi prioriser?

20/2/2019

 
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Peu de gens réussissent à maximiser l’ensemble de leurs cotisations REER et CELI. En fait, 51 % des Québécois ne cotiseraient pas du tout ni à l’un ni à l’autre de ces précieux outils de rendement.

Même si vous ne faites pas partie de la statistique, et que vous avez réussi à épargner cette année, faire un choix éclairé entre les deux programmes peut s’avérer difficile, sans compter que chaque institution tentera probablement de mettre de l’avant ses produits fétiches. Voici donc 6 mises en situation pour vous aider à décider où investir.

REER
Comme son nom l’indique, le Régime Enregistré d’Épargne-Retraite vous aide à d’épargner en vue de la retraite. Le REER apporte une déduction sur vos revenus de l’année précédente, qui sera reportée au moment d’en retirer vos économies. On anticipe ainsi que votre palier d’imposition est plus élevé aujourd’hui qu’au moment de votre retraite. Plus vos revenus actuels sont élevés, plus il sera avantageux de cotiser à vos REER en premier lieu.

Vous prévoyez bientôt devenir propriétaire pour la première fois? Il peut être intéressant de financer l’achat avec un RAP maximum de 25 000 $. Assurez-vous d’atteindre ce solde dans vos REER au minimum 90 jours avant le retrait prévu afin qu’il soit admissible. Vous pourrez ensuite retirer l’argent tout en profitant d’une déduction fiscale sur les REER investis cette année.

Vous prévoyez un retour aux études? À l’image du RAP, le REEP permet de retirer des sommes de votre REER pour financer vos études. Vous aurez ensuite 10 ans pour rembourser ce retrait sans pénalité.

CELI

Vos revenus ne sont pas particulièrement élevés cette année, mais sont amenés à augmenter dans le temps? Investir dans votre CELI vous permettra de profiter d’un faible palier d’imposition aujourd’hui, tout en retirant vos profits à 100 % le jour où vous serez davantage imposé.

Vous ne pensez pas dépenser l’ensemble de vos épargnes avant votre décès? Sachez qu’un CELI peut être légué sans incidence fiscale pour l’héritier. Y laisser de l’argent à son décès représente ainsi un rare legs non imposable.

Vous comptez demander un prêt pour un projet majeur, tels des rénovations ou le lancement d’une entreprise? Le CELI peut servir de garantie à ce prêt. L’épargne pourra par ailleurs aussi en être retirée à tout moment pour vous aider à financer vos projets sans pénalité.

Pour les deux produits ici évalués, rappelez-vous que les cotisations inutilisées peuvent l’être lors des années suivantes. N’hésitez donc pas à rattraper celles-ci lorsque votre situation financière vous permet d’épargner davantage, à la réception d’un boni ou lors de la vente de biens immobiliers par exemple!

Bonus : Vous avez des enfants? Pensez à commencer par maximiser vos REEE (Régime enregistré d’épargne-études, pour lesquels les gouvernements provincial et fédéral bonifieront vos épargnes de 35 %. Difficile de battre un tel cadeau avec les rendements de vos REER et CELI!

Au-delà des avantages structurels de ces différents produits, chaque situation financière demeure unique. Il est donc important de consulter un conseiller financier qui prendra le temps d’évaluer votre situation et vos objectifs à court et long terme afin de vous aider à répartir votre épargne de la manière la plus avantageuse pour VOUS.

Source: JDM
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